dimanche 18 septembre 2011

Projet de la nouvelle prison de Oued Ghir (Bejaia)

Projet: construction d'un important centre pénitencier à Oued Ghir (wilaya de Béjaia)
Etat des lieux du projet: prison inaugurée et opérationnelle.
Première mention du projet: en 2008


LE SUIVI DU PROJET


***2011***

Les ONG à la prison de Oued Ghir

Le nouveau pénitencier de Oued Ghir, dans la wilaya de Béjaïa, a fait lobjet d´une visite effectuée jeudi dernier par une commission mixte composée du directeur général de l´administration pénitentiaire et deux délégués aux droits de l´homme représentant deux instances internationales, en l´occurrence l´Organisation des Nations unies (ONU) et la Commission européenne.
«L´Algérie accorde un intérêt particulier à construire des prisons répondant aux normes internationales. Et la prison de Oued-Ghir en est un exemple qui illustre parfaitement cette volonté Elle dispose d´une infirmerie d´une capacité de 80 lits, des ateliers de formation, des cellules spacieuses et d´autres équipements visant à améliorer les conditions de vie des détenus», a déclaré le directeur général de l´administration pénitentiaire, Mokhtar Fellioune en marge de cette visite.
Une visite à même de rassurer les instances internationales de défense des droits humains quant au respect «des conventions ratifiées par l´Algérie» et «les promesses données par Alger» dans ce sens. Le coordonnateur onusien n´a pas caché sa fierté par rapport aux conditions de détention en Algérie.
«Nous avons constaté que le détenu bénéficie durant son incarcération d´une formation ou d´un apprentissage. Ces conditions peuvent concourir à la réinsertion du détenu après sa sortie de prison. L´Algérie a, de mon point de vue, respecté ses engagements. «Nous sommes fiers de ce que nous avons vu» a-t-il dit en substance. La visite des deux défenseurs des droits humains à la prison d´Oued Ghir intervient dans une conjoncture marquée par des attaques à l´endroit de l´Algérie, oeuvre du Comité de l´ONU des droits de l´homme concernant, notamment les cas de disparitions forcées durant la tragédie nationale.
L´administration pénitentiaire tente ces dernières années, d´humaniser l´univers carcéral en Algérie. Treize nouveaux établissements de rééducation répondant aux normes internationales sont à ce propos construits aux quatre coins du pays.
Dans la wilaya de Béjaïa, une nouvelle prison construite sur le territoire de la commune de Oued Ghir est destinée à accueillir jusqu´à 1000 détenus. Elle s´inscrit dans la cadre de l´application de la nouvelle politique du ministère de la Justice, notamment en matière de réformes relatives à l´amélioration des conditions de vie quotidienne. L´Algérie a, pour rappel, été maintes fois montrée du doigt par des ONG de défense des droits de l´homme au début des années 1990 pour non-respect des droits humains dans le milieu carcéral.
Ces organisations mettaient l´accent, notamment sur le problème de la surpopulation dans les prisons en Algérie et les mauvais traitements infligés aux détenus par les gardiens.
Il est utile de rappeler que l´édification de la prison visitée le jeudi avait suscité la désapprobation d´une partie de la classe politique locale et de la population d´Oued Ghir. Plusieurs sit-in ont été initiés sur le site même où est implanté le pénitencier.
Source: L'Expression daté du 4 juin 2011


***2010***

Tayeb Belaiz à Bejaia 

Le ministre de la justice inaugure une nouvelle prison, seul projet concret dans la wilaya

Le ministre de la justice Taib Belaiz, en visite, aujourd’hui, dans la wilaya de Bejaia a procédé à l’inauguration de la prison d’Oued-Ghir, à l'ouest de la wilaya. Il s'agit d'un centre pénitentiaire de 1.000 lits et bâti sur une superficie de 10 ha. D’un coût global de 5 milliards de dinars, selon nos sources, le projet a été réceptionné avec un retard de dix mois.
Cette nouvelle prison est la troisième a être réceptionnée au niveau national, mais le projet en question n’est pas d’une nécessité absolue pour une région qui enregistre le taux le plus faible de criminalité du pays. D’ailleurs, à son lancement , le projet a soulevé une vive protestation de la population de la région. Cette prison est le seul projet concret mené a terme. Celui de la gare routière par exemple, traine toujours en longueur alors que sa réception était prévue pour le 15 juillet dernier, avait annoncé le ministre des Transports dans la wilaya de Bejaia en mars dernier.
Source: Tout Sur l'Algérie daté du 24 octobre 2010

Cour de Béjaïa : Installation du directeur de la nouvelle prison de Oued Ghir

Le directeur de la nouvelle prison de Oued Ghir, Zereb Saït a été installé dans ses fonctions hier, au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée à la Cour de Béjaïa. Le nouveau directeur de l’établissement pénitentiaire en voie d’achèvement à Oued Ghir, originaire de la wilaya de Boumerdès est âgé de 43 ans. Le procureur général près la cour de Béjaïa, M. Hamadou dans son allocution, a déclaré que M. Zereb a suivi des stages de formation à l’étranger et a dirigé plusieurs établissements pénitenciaires dont notamment ceux de Biskra et de Constantine. La prison Oued Ghir située à une dizaine de kilomètres de Béjaïa, a une capacité d’accueil de 1 000 lits et sera opérationnelle, a indiqué son directeur à la fin du mois de septembre de l’année en cours. L’Algérie a entamé un plan de construction de 13 prisons dont 7 à 1 000 lits et 6 autres à 2 000 lits. La prison de Oued Ghir est l’une des premières livraison de ce programme. Quant à l’ancienne prison d’El Khemis qui date de l’ère coloniale, elle fonctionnera probablement jusqu’à décembre. Puis, elle sera démolie et servira, selon le P/APC de Béjaïa de station pour le future téléphérique de Gouraya.
Source: La Dépêche de Kabylie daté du 29 juillet 2010


***2009***

Le P/APC d'Oued Ghir destitué
Nacer Mohdeb, élu indépendant, a été installé, jeudi dernier, à la tête de l'Assemblée populaire de Oued-Ghir en remplacement de Boualem Ayadi, qui venait de faire l'objet d'un retrait de confiance, prononcé par la majorité de ses pairs, conformément à l'article 55 du code communal.
La cérémonie d'installation du nouveau P/APC, présidée par le chef de daïra de Béjaïa, a eu lieu en l'absence du P/APC sortant et la défection de quelques élus de la même assemblée.
La procédure de destitution de M. Ayadi, à travers un procès-verbal dûment établi par un huissier de justice, tel que stipulé par la loi régissant le fonctionnement de la commune, a été engagée par la majorité des élus, à savoir 7 élus, dont l'ex-adjoint au P/APC sortant, sur les 9 que compte cette assemblée.
En effet, hormis l'élu du RCD qui s'est refusé de cautionner une telle démarche, les autres membres de l'APC se sont entendus sur un objectif commun, celui de faire tomber la tête du premier magistrat de la commune. Lâché par ses pairs et enfoncé par l'administration, l'ex-P/APC de Oued-Ghir, que nous avons contacté hier, se dit “très déçu” beaucoup plus par son successeur qui n'est autre que son ancien bras droit, tous deux issus de la même liste indépendante qui avait eu la majorité de voix lors des élections locales du 29 novembre 2007. “Je suis trahi par celui que j'ai porté et hissé à un niveau qu'il ne mérite pas finalement”, nous a confié M. Ayadi. Notre interlocuteur ne manquera pas de fustiger l'administration locale qui a, selon lui, affiché un empressement sans précédent dans la mise en application de la procédure de destitution engagée en dehors du cadre légal, à savoir le siège de l'APC. “On sait pertinemment que nous dérangeons trop l'ordre établi. Personnellement, je savais bien que j'étais dans le collimateur de l'administration, mais quoi qu'il en soit, je resterai fidèle à mes principes en continuant à me battre pour toutes les causes justes, aux côtés de mes concitoyens”, affirmera-t-il encore, avant de conclure par cette interrogation : “Pourquoi l'administration locale avait hâte de destituer le P/APC de Oued-Ghir, alors que bon nombre de P/APC ayant fait l'objet de la même procédure, demeurent intouchables ?”
Pour rappel, ce même P/APC s'est déjà distingué par son opposition à l'implantation dans sa commune d'une prison dont les travaux connaissent une cadence des plus avancées.
Source: Liberté daté du 14 septembre 2009


***2008***

UNE SOCIÉTÉ CHINOISE MISE À L’INDEX PAR DES TRAVAILLEURS DE BÉJAÏA
La société chinoise réalisatrice du projet de construction d’une importante prison régionale, dans la commune de Oued-Ghir, aux portes de la ville de Béjaïa, est mise à l’index par quelque 63 travailleurs algériens qui ont entamé hier un mouvement de grève pour dénoncer les dures conditions de travail au sein de ladite entreprise.
Les ouvriers grévistes ont jeté un véritable pavé dans la mare en parlant des pratiques de l’entreprise, au plan notamment des recrutements et des salaires octroyés aux travailleurs algériens, qui seraient «sous-payés», relève-t-on, par rapport aux travailleurs de nationalité chinoise. Ne bénéficiant pas d’assurance et des primes de transport et de restauration, les ouvriers algériens recrutés par ladite société chinoise toucheraient finalement un salaire mensuel de 15 000 DA, indiquent les grévistes. Une affaire qui promet assurément des rebondissements.
Source: Le Soir d'Algérie daté du 23 octobre 2008 



Trois marches pour un printemps à Béjaïa. 
La première marche commémorant le 28e anniversaire du printemps berbère initiée par le Rassemblement pour la Culture et la Démocratie, a réuni un peu plus de 200 militants, élus et responsables du RCD. Partie du TRB, le Théâtre Régional de Bejaia, elle s’est achevée pour finir devant le siège de wilaya où le député Djamel ferdjallah a pris la parole pour dénoncer « l’antikabylisme primaire » des autorités et la décision d’ériger un pénitencier à Oued Ghir, à l’entrée de Bejaia. « Bejaia n’est pas une prison », pouvait-on lire sur la principale banderole brandie par les marcheurs.La seconde, organisée par la MAK, le Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie de Ferhat Mhenni, dont c’est la première sortie publique à Béjaïa, a réuni près de six cents militants qui ont battu le pavé du TRB jusqu’à la maison de la culture où une déclaration a été lue au public par le premier responsable du MAK.
De leur coté, les étudiants de l’université Abderrahmane Mira ont également organiser leur propre marche. Elle a lieu du campus d’Aboudaou jusqu’au siège de la wilaya et elle a drainé près de 1500 étudiants. Toutes les marches se sont déroulées dans le calme et sans incident notable.
Source: LeMatinDZ.com daté du 21 avril 2008





Projet de la polyclinique de Tizi Gheniff (Tizi Ouzou)

Projet: réalisation d'une polyclinique dans la localité de Tizi Gheniff (wilaya de Tizi Ouzou)
État des lieux du projet: en travaux.
Première mention du projet: en 2008


LE SUIVI DU PROJET


***2011***

Tizi-Gheniff : Les travaux de sa réalisation tirent à leur fin

La polyclinique bientôt réceptionnée

Le projet de réalisation d'une polyclinique à Tizi-Gheniff tire à sa fin. Il ne reste que quelques petites retouches à finaliser. Cette structure sanitaire tant attendue par la population ne tarderait pas à être réceptionnée et à être inaugurée. "Nous pensons qu'elle sera opérationnelle d'ici quelques mois. La structure est entièrement terminée et on attend l'arrivée du matériel", nous a confié une source locale. A Tizi-Gheniff, depuis des années, le mouvement associatif n'a cessé de réclamer d'autres structures sanitaires. "Notre daïra accuse un retard énorme dans le cadre de la santé. Actuellement, le centre de santé est abrité par une bâtisse de l'ère coloniale. Même la maternité n'a pas tous les moyens. Toutes les évacuations se font vers l'hôpital Krim Belkacem de Draâ El Mizan", a mentionné dans son intervention un membre de ce mouvement. Du côté des unités de soins, on peut dire que la couverture est moyenne à l'exception de la commune de M'Kira qui est dotée d'au moins cinq salles de soins. Pour la future polyclinique, on croit savoir qu'en plus de nombreux services, elle sera dotée d'une radiographie et d'un laboratoire d'analyses médicales. Lors de sa visite dans la région à la fin de l'année dernière, la wali a insisté sur notamment la qualité des travaux en allant jusqu'à dire qu'il faut refaire certaines opérations relevant de la finition. "C'est un projet arraché de haute main et nous devons faire en sorte à ce qu'il rende tous les services à notre population qui a souffert des années", nous a dit un membre du mouvement associatif qui a participé à toutes les démarches pour obtenir ce projet. "Ce sera une polyclinique à part entière", conclut-on.
Source: La Dépêche de Kabylie daté du 17 septembre 2011


Tizi Gheniff : Le projet de polyclinique à la traîne

Entamé depuis presque 5 ans, le projet de la polyclinique, dans la localité de Tizi Gheniff (quelque 40 km au sud de la ville de Tizi Ouzou) demeure toujours à la traîne.

Promis pour l’année précédente, cet établissement sanitaire vient d’être quasiment fini, mais toujours non opérationnel. L’avancement des travaux est estimé à 92 %, a-t-on constaté sur les lieux. Selon des sources proches de ce projet, il reste à réaliser un mur de clôture, à installer des chaudières et à finir les garages pour les ambulances. «Les travaux de construction qui devraient prendre 8 mois, ont  duré plus de 4 années. Peut être qu’on va attendre encore une année supplémentaire pour finir l’édifice», selon notre source. La population de la région est fortement mécontente quant aux retards accusés pour la mise en service de cet établissement, censé répondre aux besoins de plus de 50 000 habitants. «On a hâte d’ouvrir cette polyclinique. L’ancienne structure, la seule existante, ne suffit plus pour satisfaire aux besoins de la population locale», avoue un citoyen de la région, estimant que «l’Etat aurait dû nous construire un hôpital, sachant que la démographie dans la région est de plus en plus croissante». L’ensemble des deux communes de la daïra de Tizi Gheniff compte seulement deux mini-polycliniques et une maternité datant des années 1980, aujourd’hui dans un état délabré, faut-il le rappeler.
Source: El Watan daté du 6 avril 2011


***2010***
...


***2009***



M'Kira (Tizi Gheniff)
Les citoyens d'Imlikchen réclament une unité de soins
 
Bien que Tizi Gheniff soit érigée en daïra depuis plus de 18 ans, la couverture sanitaire dans cette région relevant de la wilaya de Tizi Ouzou, est en deçà de la moyenne nationale.
Même si au moins deux walis en visite dans cette vaste contrée ont promis aux autorités de la doter d'un mini-hôpital, ce ne fut qu'une policlinique qui leur a été inscrite et dont les travaux tirent à leur fin. Tizi Gheniff avec ses 40 000 habitants dépend toujours de Draâ El-Mizan, notamment en ce qui concerne les consultations spécialisées, les hospitalisations ou en encore les accouchements.
La commune de M'kira dans cette région est la moins dotée en matière de structures sanitaires. On peut évoquer la maternité rurale réalisée au milieu des années 1980 qui n'a aujourd'hui ni gynécologue ni matériel, excepté une sage-femme.
Ainsi, les parturientes doivent être évacuées jusqu'à l'EPH Krim-Belkacem de Boghni ou encore jusqu'à l'hôpital de Bordj Menaïel (Boumerdès) pour celles qui habitent dans les villages limitrophes de cette wilaya, moyennant des frais supplémentaires en plus des risques encourus durant leur évacuation.
“Nous avons maintes fois sollicité les hautes autorités dont le ministre de la Santé, mais aucune réponse”, nous a confié un ex-élu. S'agissant de la santé de proximité, les unités de soins réalisées dans les villages de la commune ne sont pas logées à la bonne enseigne quand on sait que seuls les petits soins qui sont administrés aux patients, en plus du passage du médecin. Les citoyens du village d'Imlikchen demandent l'inscription d'une unité de soins car ils estiment qu'ils souffrent des déplacements jusqu'au chef-lieu Tighilt Bougueni ou même jusqu'à Tizi Gheniff tout juste pour un vaccin ou une injection. “Notre village est l'un des plus importants de la commune, mais on ne voit rien venir. Pourtant, nous n'avons pas cessé de demander cette structure sanitaire”, nous a dit l'un de ces citoyens ayant déjà déposé des demandes au niveau de toutes les administrations concernées.
Ceci dit, beaucoup reste à faire dans cette contrée, qui a enfanté l'un des héros de la Révolution, en la personne du colonel Ali Mellah dit Si Chérif.
Source: Liberté du 13 octobre 2009



***2008***

Annonçant que Tizi Ouzou sera dotée de deux hôpitaux spécialisés

Barkat affirme que l’Etat contrôlera les cliniques privées

Les pouvoirs publics «seront dorénavant très regardants sur les prestations des cliniques privées». C’est ce qu’a affirmé hier à partir de Tizi Ouzou, M. Saïd Barkat, ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, à l’occasion d’une visite d’inspection et de travail. 
Réagissant au constat du DSP selon lequel «la majorité des cliniques privées, au nombre de 9, ouvertes à Tizi Ouzou dans le sillage de la réforme hospitalière, versent dans des activités lucratives telles que la gynécologie obstétrique et la chirurgie générale», le ministre, qui s’est félicité de l’apport de ces structures pour le secteur de la santé, a néanmoins mis l’accent sur «l’impérative nécessité de conscientiser et moraliser la pratique médicale au niveau de ces cliniques devant se doter de leurs propres médecins, plutôt que de se contenter de conventions avec les hôpitaux publics pour s’offrir les services de spécialistes». «Il n’est pas interdit de s’enrichir, mais à condition de respecter la science», a-t-il ajouté, en assurant que «la réglementation sera appliquée dans toute sa rigueur». Au CHU de la ville 
de Tizi Ouzou, le ministre s’est notamment intéressé au service des urgences où il a eu à constater une saturation des capacités d’accueil, l’ayant amené à recommander l’installation, au niveau de cette structure, d’un centre de tri des malades, ainsi que «l’adoption d’un schéma d’évacuation progressive de ces derniers selon le degré de gravité et la norme de la hiérarchie des soins, débutant à la salle de soins et passant par la  polyclinique, puis l’hôpital, pour ne retenir au CHU que les cas avérés comme étant d’extrême urgence». A Oued Aïssi, à une dizaine de kilomètres à l’est de Tizi Ouzou, le ministre a visité l’hôpital psychiatrique Fernane Hanafi pour s’enquérir des conditions de travail du personnel médical. Lors de cette halte, M. Barkat a annoncé l’ouverture de deux hôpitaux spécialisés dans la daïra de Tizi Ouzou. Le premier, de 80 lits, est dédié à la cardiologie, à la pédiatrie et aux maladies infantiles et le deuxième, de 140 lits, sera un établissement hospitalier anti-cancéreux. L’ouverture des plis concernant ces deux hôpitaux spécialisés aura lieu aujourd’hui, selon le ministre. 
Aussi, il est prévu la réalisation de 4 polycliniques dans les communes de Aïn El Hammam, Irdjen, Tizi Ghennif et Tizi Ouzou (nouvelle ville), selon le programme du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière ainsi que la dotation de la région de deux écoles de formation et d’un laboratoire d’hygiène de wilaya. 
Le secteur sanitaire de Tizi Ouzou bénéficiera prochainement de 6 ambulances, selon le ministre qui a inspecté le projet de réalisation d’une polyclinique de 4 étages à la nouvelle ville de Tizi Ouzou. Le projet, qui connaît un taux d’avancement de 70%, sera livré dans 18 mois, selon les premières prévisions.
Source: La Tribune daté du 6 août 2008






vendredi 9 septembre 2011

Projet du nouvel hôpital de 120 lits à M’Chedallah (Bouira)

Projet:  réalisation d'un nouvel hôpital de 120 lits à M'Chedallah (Imcheddalène)
État des lieux du projet: en cours d'étude.
Première mention du projet: en 2009



LE SUIVI DU PROJET


***2011***


BOUIRA, Direction de la santé
Lancement de plusieurs projets
La Direction de la santé de la wilaya de Bouira a annoncé le lancement de nombreux projets susceptibles d’augmenter ses capacités d’accueil et d’améliorer la qualité des prestations fournies en son sein, et ce, avant la fin 2011.
Actuellement en cours d’étude, l’hôpital de M’chedallah (120 lits) figure en tête de liste de ces projets d’importance, inscrits à la faveur de l’exercice 2011 de la wilaya, au même titre que l’école de formation paramédicale de Bouira, dotée d’une capacité d’accueil de 300 places pédagogiques et 150 lits, en sus d’une enveloppe de réalisation estimée à 300 millions de DA, selon le chef du service planification et population de la direction de la santé, de la population et de la réforme hospitalière (DSPRH).
Par ailleurs, la même période verra le lancement d’une étude inhérente à la réalisation d’un centre de transfusion et collecte de sang de Bouira, qui sera le premier du genre en la matière, parallèlement au lancement des études du complexe mère-enfant (80 lits) et l’Etablissement hospitalier spécialisé (EHS) (90 lits) de Bouira, qui sera doté d’un IRM, premier du genre à l’échelle locale. destinataire
Ce projet de réalisation a été d’une enveloppe de 1,5 milliard DA, a signalé M. Laalam Mahmoud à l’APS, avant de faire part de l’acquisition programmée d’équipements de pointe pour l’hôpital psychiatrique de Sour El Ghozlane, pour une somme de 290 millions DA, ainsi qu’au profit des nouveaux services des urgences de Lakhdaria et de Ain Bessam pour une enveloppe globale de 200 millions DA.
La même opération d’équipement profitera au centre intermédiaire de lutte contre la toxicomanie et à plusieurs hôpitaux de la wilaya qui seront destinataires de cinq ambulances à acquérir pour une somme de 15 millions DA.
Durant la présente année 2011, le secteur de la santé de Bouira a été renforcé de cinq polycliniques ouvertes à Taghzout, Oued El Bardi, Mezdour, Takdit et Dechmia, en plus d’un centre d’hémodialyse à Sour El Ghozlane, doté de 12 générateurs dont le nombre sera porté à 20 au cours du premier trimestre 2012, selon les données fournies par la DSPRH. Cette fin d’année verra également le lancement des travaux de réaménagement du service chirurgical de l’hôpital Mohamed Boudiaf de Bouira, dont le nombre des salles d’opérations sera porté à six, à l’issue de cette opération, a indiqué M. Laalam à l’APS, signalant aussi l’acquisition attendue de scanners au profit des hôpitaux de Sour El Ghozlane et Lakhdaria. Sachant que cet appareil n’est actuellement disponible qu’au niveau de l’hôpital Mohamed Boudiaf. Deux hôpitaux à Bordj Akhriss et Ain Bessam, d’une capacité unitaire de 120 lits, sont également prévus au lancement au titre du même programme 2011 de la wilaya, selon le même responsable. 
Source: Le Midi Libre daté du 8 septembre 2011


M’Chedallah : Quatre nouveaux CEM et un hôpital en projet

La daïra de M’Chedallah, à une cinquantaine de kilomètres à l’est du chef-lieu, vient de bénéficier, dans le cadre du plan quinquennal 2010/2014, d’un important lot de projets répartis sur plusieurs secteurs.
Le secteur de l’éducation qui détient la part du lion dans ce programme a bénéficié de quatre établissements de l’enseignement moyen (CEM). Ces lieux de savoir seront réalisés au niveau des communes de Chorfa (Toghza), Aghbalou, Ahnif et Ath Mansour (Ath Vouali). En termes de projets dans le domaine sportif, la pose de la première pierre pourla construction d’une piscine semi olympique a eu lieu vers la fin de l’année écoulée. D’un délai de réalisation de 14 mois, le coût de cette infrastructure est évalué à 13 milliards de centimes. L’assiette de terrain qui lui a été affectée étant celle du parc communal actuel de l’APC, cette dernière sera compensée par un autre terrain en plus d’une enveloppe de 300 millions de centimes pour son aménagement. Le coup d’envoi de la réhabilitation de la maternité de l’EPH (établissement public hospitalier) Kaci Yahia, sis au chef-lieu de la daïra a été donné au terme d’une visite d’inspection du premier responsable de la wilaya Ali Bouguera. A cette opération, dont les travaux ne doivent pas dépasser un délai de 3 mois, il a été octroyé une enveloppe de 485 millions de centimes. Concernant le même secteur, la région de M’Chedallah a aussi été destinataire, à la faveur du même programme d’un nouvel hôpital de 120 lits et qui comprendra 9 spécialités en plus de paramédicaux. L’équipement de cette nouvelle infrastructure de la santé sera aussi composé d’une radiologie, d’un amplificateur traumatologique et d’une ambulance médicalisée. Plusieurs infrastructures de base relatives au secteur de la culture, dont a bénéficié la daïra de M’Chedallah dans différents plans, ont été inaugurées vers la fin du mois de décembre écoulé. On citera à titre d’exemple, la bibliothèque municipale et le centre culturel Abkouk Amar qui ont été respectivement ouverts et rouverts.
Source: La Dépêche de Kabylie daté du 4 janvier 2011



***2010***
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***2009***

M’CHEDALLAH 

Les réserves du wali

Le premier magistrat de la wilaya instruit ses subordonnés pour engager les procédures administratives coercitives à l’encontre de certaines entreprises défaillantes.
Les divers projets du secteur de l´habitat, du logement et des équipements publics continuent de faire l´objet d´inspections à travers toute la wilaya de Bouira. Depuis une semaine et quotidiennement, le wali et son exécutif se déplacent et visitent les chantiers. Après les daïra de Lakhdaria et Aïn Bessem, jeudi c´était au tour des réalisations de la daïra de M´Chedallah de faire l´objet d´une inspection de la part de l´administration de la wilaya. La commune de M´Chedallah, du chef-lieu de la daïra, a bénéficié pour le compte de l´année 2000 d´un programme de 150 logements sociaux locatifs. Une esquisse a été présentée au wali qui a émis des réserves, quant à la disposition en U des bâtisses. Le bureau d´études et le maître d´ouvrage, l´Opgi ont promis de revoir la disposition et de faire en sorte pour bien meubler l´espace réservé. A Raffour, un quartier de la commune situé sur l´axe routier vers Béjaïa, les projets de réalisation de 120 logements sociaux locatifs et 109 logements sociaux participatifs ont reçu la délégation. Pour le premier chantier visité, l´entreprise en charge donne satisfaction quant au taux d´avancement des travaux. En revanche, le projet LSP de Raffour confié à une entreprise domiciliée à Béjaïa, ressemble plus à une arnaque qu´à un quelconque projet. Le taux d´avancement des travaux n´inspire pas confiance. La liste des bénéficiaires n´est toujours pas établie. Le wali instruisit ses subordonnés pour engager les procédures administratives coercitives inhérentes à ce cas de figure. Le secteur de l´éducation a bénéficié de l´inscription d´un CEM type B400 à Beni Yekhlef. L´opposition émise par les membres d´une EAC a été dénouée avec l´octroi de 100 oliviers sur un autre site en lieu et place des 24 arbres. Une nouvelle subdivision hydraulique, un siège de la Bmpj, une bibliothèque communale, un service de l´état civil sont autant d´édifices publics qui seront très prochainement réceptionnés dans la commune de M´Chedallah qui accuse un grand retard en matière de structures publiques. Dans le cadre de l´amélioration du cadre de vie, 12 projets d´aménagement urbain sont évalués à des taux de réalisation appréciables. Pour pouvoir recevoir les clients dans de bonnes conditions, la Recette des impôts, une bâtisse datant de 1894 et menaçant ruine, sera redomiciliée dans un autre lieu pour permettre une expertise du CTC. L´antenne Cnas aussi sera réaffectée dans des locaux mis à sa disposition par l´Opgi et qui seront réaménagés dans moins de trois mois. Le Souk El Fellah abandonné est confié à l´APC et la direction du commerce pour engager des travaux de réfection et son aménagement en marché couvert permanent.
L´hôpital de M´Chedallah qui ne répond plus aux besoins de la population, a bénéficié d´un service d´urgence. En outre, la nécessité de la construction d´un hôpital de 120 lits figure déjà dans les projets d´extension du secteur hospitalier qui reste l´unique solution pour la région. Le secteur de la jeunesse et des sports n´est pas resté en marge, puisque le stade communal de M´Chedallah recevra le gazon synthétique. Les travaux de pose débuteront dès le mois d´octobre prochain. Une piscine semi-olympique aussi est retenue à côté du stade. La zone doit devenir un pôle sportif a dit le premier responsable de la wilaya.
Dans le cadre de l´investissement privé, la délégation a visité l´usine de production de carrelage Bicouche. Le dernier point qui suscita l´intérêt de la délégation était inhérent au contournement autoroutier d´El Adjiba. Un passage de 350 mètres comprenant deux ouvrages d´art, un pont et un dalot bloque la situation. Confiée aux Italiens de Todini, la réalisation a accusé du retard. Les autorités de Bouira ont décidé de veiller au jour le jour, pour résorber ce point noir qui bloque 17 wilayas de l´Est.
Source: L'Expression daté du 13 septembre 2009

Le projet de la radio de Tizi Ouzou

Projet: création d'une radio locale à Tizi Ouzou.
Etat des lieux du projet: lancement prévu le 1er novembre 2011
Première mention du projet: en 2006


LE SUIVI DU PROJET



***2011***

Radio Djurdjura de Tizi-Ouzou
L’inauguration prévue le 1er novembre
A moins d'une surprise de dernière minute, Radio Djurdjura domiciliée à Tizi-Ouzou sera, enfin, inaugurée le 1er novembre prochain. C'est ce que nous avons appris hier de sources sûres.
La radio en question émettra pour la première fois ou bien le 28 octobre, qui coïncide avec la Journée nationale de la radio ou bien le 1er novembre, date anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale, ajoute notre source.
A partir du 2 septembre prochain, la direction de la radio mettra le paquet pour apporter les dernières retouches nécessaires pour la mise en service de Radio Djurdjura.
Les tranches horaires de diffusion n'ont pas encore été arrêtées, a-t-on également appris. En revanche, tout le matériel nécessaire pour le bon fonctionnement de cette radio a été acquis.
Rappelons que l'inauguration de Radio Djurdjura n'a pas cessé d'être reportée pour une multitude de raisons.
Le siège de la nouvelle radio est situé au centre-ville à proximité de la maison de la culture Mouloud-Mammeri et à 1 jet de pierre du siège de la wilaya.
A moins d'une surprise de dernière minute, Radio Djurdjura domiciliée à Tizi-Ouzou sera, enfin, inaugurée le 1er novembre prochain. C'est ce que nous avons appris hier de sources sûres.
La radio en question émettra pour la première fois ou bien le 28 octobre, qui coïncide avec la Journée nationale de la radio ou bien le 1er novembre, date anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale, ajoute notre source.
A partir du 2 septembre prochain, la direction de la radio mettra le paquet pour apporter les dernières retouches nécessaires pour la mise en service de Radio Djurdjura.
Les tranches horaires de diffusion n'ont pas encore été arrêtées, a-t-on également appris. En revanche, tout le matériel nécessaire pour le bon fonctionnement de cette radio a été acquis.
Rappelons que l'inauguration de Radio Djurdjura n'a pas cessé d'être reportée pour une multitude de raisons.
Le siège de la nouvelle radio est situé au centre-ville à proximité de la maison de la culture Mouloud-Mammeri et à 1 jet de pierre du siège de la wilaya.
Source: Le Midi Libre daté du 30 août 2011 


De la prison ferme pour les agresseurs du journaliste de la radio

Le tribunal correctionnel de Tizi Ouzou a condamné aujourd’hui dimanche les deux agresseurs du journaliste de la radio nationale Khaled Akchout à la peine de 6 mois de prison ferme pour outrage à un fonctionnaire pendant l’exercice de ses fonctions.
Les deux peines sont assorties d’une amende de 20 000 dinars et le versement de 50 000 dinars comme dommage et intérêts à la victime pour chacun des deux mis en cause.
Notre confrère Khaled Akchout, chargé du suivi du projet de réalisation de la station de radio de Tizi Ouzou, a été victime d’une agression au moment ou il quittait son bureau provisoire situé dans l’enceinte de la maison de la culture Mouloud Mammeri de la ville de Tizi Ouzou.
Il s’en est sorti avec un arrêt travail de 15 jours suite à cette agression. Ses deux agresseurs étaient venus demander de l’emploi au sein de la radio locale mais les réponses de son responsable n’étant pas de leur goût ils l’ont agressé.
Joint au téléphone par Algerie Plus à l’annonce de ce verdict,  Khaled Akchout n’a pas caché sa satisfaction que ses deux agresseurs soient corrigés tout en saluant l’élan de solidarité qui s’est exprimé à son adresse suite à cette agression.
Source: Algérie Plus daté du 22 mai 2011


Le journaliste Khaled Akchout raconte son agression à l’intérieur de la Maison de la Culture

Chargé d'un projet de radio dans la wilaya de Tizi Ouzou, le journaliste Khaled Akchout a été agressé physiquement mercredi 11 mai sur son lieu de travail par deux hommes. L’agression s’est déroulée dans le bureau  provisoire qu'occupe Khaled au niveau de la Maison de la culture Mouloud Mammeri, sous les yeux « de cinq agents de sécurité » qui n’ont pas bronché. Atteinte d’un traumatisme cervical, la victime a déposé plainte contre ses agresseurs et dénonce la « non assistance à personne en danger. » DNA a recueilli son témoignage.

Il est presque 10 heures ce mercredi 11 mai et le journaliste Khaled Akchout se trouve  dans son bureau provisoire au niveau de la Maison de la culture Mouloud Mammeri au centre de la ville. « Deux hommes, habitant un quartier dit ’Million’ limitrophe au siège de la radio et celui de la maison de la culture, se sont présentés dans mon bureau pour demander du travail, comme agent de sécurité ou chauffeur. Je leur explique que le recrutement n’a pas encore démarré et que la radio est toujours en chantier », raconte M. Akchout.
Les deux hommes, qui ne sont pas à leur première « visite », reviennent à la charge. « Ils insistent sur le fait que les habitants de la Cité ‘’Million’’ sont prioritaires pour les postes emploi au niveau de la future radio», se souvient notre interlocuteur.
Khaled tente une autre explication pour les convaincre. « Je leur explique encore que la radio ne recrute pas selon des quotas de quartiers », dit-il.  Visiblement, non satisfaits, les visiteurs quittent les lieux.
Pas pour longtemps. Une demi-heure s’écoule. Les deux jeunes, munis d’armes blanches et d’une bombe lacrymogène, déboulent dans le bureau du journaliste. « On est dans le couloir. Ils commencent  à proférer des insultes et menacent d’incendier la radio et de m’empêcher d’y accéder.»
La situation dégénère vite. Les assaillants passent à l’acte. « Ils m'agressent physiquement. Je reçois des coups de pieds en plein poitrine. L’un deux tente même de m’assener un coup de couteau», confie cet ancien directeur de radio Soummam.
Fait intriguant, l’agression a lieu sans que les agents de sécurité de la maison de la culture ne réagissent. « Il y a cinq agents de sécurité au niveau à la maison de la culture. Ils les ont laissé faire. On dirait qu’il y a eu complicité. Je n’ai rien compris », peste le journaliste, en s’interrogeant sur l’impassibilité des agents. « Pourquoi les agents de la maison de la Culture que préside Ould Ali El-Hadi n’ont pas intervenu ? »
Pour Khaled kchout, ceci porte un nom: « non assistance à personne en danger ».
Un médecin légiste qui a diagnostiqué « un traumatisme cervical » lui a prescrit un arrêt de travail de 15 jours. Le journaliste a déposé plainte auprès des services de sécurité qui ont ouvert une enquête.
« Il faut que cela cesse. C’est intolérable qu’on en arrive à ce stade de dérapages », s’offusque-t-il.
Dans un communiqué rendu public jeudi 12 mai, le Syndicat National des Journalistes (SNJ) algérien dénonce une « lâche agression » contre Khaled Akchout sur son lieu de travail, « sans qu'aucun des agents de sécurité de l'établissement en question n'ait daigné intervenir. »
Le SNJ appelle les autorités à intervenir contre les agresseurs et à assurer la sécurité du journaliste et de ses proches.
Source: DNA - Dernières nouvelles d'Algérie daté du 13 mai 2011


Tizi-Ouzou : Le chef de projet de la radio locale agressé

M. Akchout Khaled, le chef de projet de la radio locale de Tizi-Ouzou a fait l'objet mercredi dernier d'une agression perpétrée à l'intérieur de la maison de la culture Mouloud-Mammeri par deux individus résidant à la cité voisine, "cité Million". En effet, dans une déclaration rendue publique, M. Khaled Akchout déclare avoir été agressé vers 10 heures, au moment où il quittait son bureau. "Deux jeunes voyous connus et reconnus pour leur dangerosité me portent des coups et blessures ayant nécessité mon transfert au service des urgences du CHU de Tizi-Ouzou. L'un des agresseurs a même tenté de me porter un coup de couteau et je n'ai dû mon salut que grâce à l'intervention de son ami qui lui a intimé l'ordre de ranger son arme", lit-on dans cette déclaration. L'un des auteurs, un repris de justice notoire, a été arrêté, quant au second, en fuite, est activement recherché.
Source: Horizons daté du 13 mai 2011


Radio Djurdjura : La livraison des locaux retardée
L'inauguration des locaux de la radio locale, prévue pour le 19 mars dernier, n'a pas eu lieu. Les travaux de construction de la structure, qui ont été lancés en juillet 2008 traînent en longueur. Les travaux ne seront pas achevés avant la mi-avril, selon le directeur de l'administration locale (DAL).Lors de la dernière session ordinaire organisée par l'assemblée populaire de Tizi Ouzou, le DAL a sollicité un nouveau délai, à cet effet. Ce dernier, qui a pris le train en marche, ne semble pas tenir compte de la vraie cadence du travail sur le terrain, ni de la bureaucratie qui relève notamment de l'approbation et le vote des budgets par l'APW. Cette dernière, rappelle-t-on, n'a pas lésiné sur les moyens financiers pour voir enfin Radio Djurdjura mise en service.
À plusieurs reprises des rallonges budgétaires ont été accordées à ce projet qui est réalisé totalement sur le budget de la wilaya. En effet, l'APW a octroyé une rallonge financière pour l'équipement des studios et l'achèvement du mur rideau (des cloisons externes en verre). La dernière tranche rajoutée par l'APW au profit de ce projet était de 13 millions de dinars pendant que la tranche précédente, de l'ordre de 17 millions de dinars vient juste d'être engagée.
Lors de la dernière session ordinaire de l'APW, le directeur des administrations locales (DAL) a été interpellé pour la énième fois au sujet de sa promesse de livrer le programme à la fin mars. Ce dernier, évoquant le retard mis par la Sonelgaz pour alimenter la structure en énergie électrique, se voit arrêter par un responsable de cette Société qui lui rappelle le non payement des devis élaborés par ses services. Ainsi, le projet de construction de la Radio Djurdjura est à 5 mois de sa 3ème année de retard sur les délais contractuels.
Source: El Watan daté du 6 avril 2011 


La décision a été prise lors de la session de l’APW de Tizi Ouzou
Une rallonge de 13 millions de dinars pour Radio Djurdjura

Lancé le 5 juillet 2008, le projet de réalisation de Radio Djurdjura dont le montant du projet s’élève à plus de 7,5 milliards de centimes accuse un retard considérable à tel point qu’il a été au centre des travaux de la dernière session de l’APW qui s’est penchée ces derniers jours sur l’adoption du budget primitif 2011.
Jusqu’à l’heure actuelle, le  taux d’avancement du projet est estimé à 85% et sa réception,  prévue pour le 1er novembre dernier, est retardée et à présent aucun délai n’est fixé pour son inauguration officielle. Seulement, lors de la session de l’APW, l’échéance du mois de mars 2011 a été retenue pou la livraison de cette station de radio régionale tant attendue.
Censée être achevée et réceptionnée dans un délai ne dépassant pas les dix-huit mois, le projet de la radio dont l’édifice est construit en R+2 pour 900 m2 de surface bâtie, dont 12 bureaux et un studio, a donc connu un retard considérable. Les travaux de finition se poursuivent toujours et cette rallonge est censée assurer l’achèvement des travaux.
Plusieurs jours de travaux sont nécessaires afin que la bâtisse donne l’image d’une structure apte à abriter une radio régionale tant attendue par la population locale qui a caressé des années durant, soit depuis la mise à l’arrêt de radio Djurdjura en 1966, le rêve d’une station de radio locale. 
Si les travaux de réalisation de la bâtisse, située dans l’enceinte de la maison de la culture Mouloud Mammeri, ont pris tant de retard -l’aménagement n’est pas encore réalisé et la réalisation du mur-rideau en verre s’éternise-, qu’en est-il alors de son équipement en moyens techniques, matériels et humains, se demande-t-on ?
Le projet de radio Djurdjura risque encore de durer. Pour rappel, la première entreprise qui avait lancé les travaux a été destinatrice d’une mise en demeure émise par les services de la direction de l’administration locale, en leur qualité de maître d’ouvrage, a conduit à la résiliation de la convention, qui liait les deux parties. Ensuite, deux entreprises ont pris le relais avec la promesse de livrer le projet avant le 31 octobre 2010. Seulement, tout ne s’est pas déroulé comme prévu.
Pour sa part, la dotation de cette radio en équipement et matériel technique coûtera la somme globale de 10 millions de dinars et elle fonctionnera, dans un premier temps, durant une tranche horaire de huit heures par jour seulement. En effet, cette radio émettra de 6 h à 14 h avec une grande partie des programmes dédiée entièrement à l’info de proximité.
Quant au rayon d’émission, on l’ignore pour l’instant. On sait seulement que c’est la station TDA de Redjaouna qui sera chargée de la diffusion des ondes et que les techniciens s’attèlent à achever cette tâche. 
Source: Le Temps d'Algérie daté du 1 janvier 2011



***2010***

Tizi Ouzou : la radio « Djurdjura » en gestation



Le siège de la radio «Djurdjura» est implanté dans l’enceinte de la Maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou. La première pierre a été posée par le wali le 5 juillet 2008. Plus de deux ans après, la radio reste une des rares au pays à ne pas émettre. La wilaya se donne un délai jusqu’à la fin de l’année 2010 pour terminer le projet.


Lancé en juillet 2008, pour un délai de réalisation de 15 mois, le projet de la radio Djurdjura n’est pas encore livré. Sa réception a été maintes fois annoncée, mais la réalité est là. La radio n’émet pas encore, au grand dam de la population locale.
Tizi Ouzou demeure du coup, l’une des rares wilaya du pays, qui ne possède pas sa propre radio. L’attente devient agaçante. Le projet devait être livré, donc, le mois de septembre de l’année 2009, avant d’être renvoyé pour le mois de mai passé, mais rien n’est fait.
Certes, la bâtisse devant abriter la radio s’est élevée, toutefois la radio n’existe toujours pas. Fort de deux étages, le siège est situé au niveau de l’enceinte de la Maison de la culture Mouloud Mammeri.
Aux dernières nouvelles, on apprend que le fameux projet sera livré avant la fin de l’année en cours. D’ailleurs, un budget assez conséquent vient d’être débloqué pour l’acquisition du matériel nécessaire pour la station. Dix millions de dinars, c’est le montant de l’enveloppe allouée à cet effet. Tizi Ouzou espère que cette fois sera la bonne et le projet sera prêt dans le délai annoncé.
L’ensemble du projet a valu une coquette somme de 7,5 milliards de centimes. La radio était destinée pour créer 26 postes d’emploi. Selon nos informations, dans un premier temps, la radio émettra de 6h à 14h. Le volume horaire sera augmenté après la mise en place des équipes de diffusion et de production.
Le programme de la future radio sera riche et varié, il y en aura, en effet, du sport, de l’information, du divertissement…il est certain en somme, que la radio Djurdjura ne sera pas de trop pour la wilaya. Une wilaya qui a déjà vécu avec cette radio des années durant avant que celle-ci, ne mette les clefs sous le paillasson pour des raisons politiques, dit-on. Les anciennes générations se souviennent que la station constituait un espace d’évasion pour elles. La radio offrait, en effet, se rappelle-t-on, l’alternative avant son éclipse, laissant du coup, un grand vide derrière elle.
Il a fallu attendre l’année 2007, pour reparler de nouveau de cette station. L’annonce de sa relance a été faite par le directeur général de l’ENRS, de l’époque Azzedine Mihoubi. C’était le 25 janvier 2007. Depuis, Tizi tape des mains et des pieds pour mettre en œuvre le projet.
La première pierre a été posée par le wali, le 5 juillet 2008. Des entreprises ont été engagées avec un suivi minutieux de la part des pouvoirs publics et les services concernés. Cet engouement n’a pas suffisant puisque le projet accuse déjà un retard assez conséquent.
On a appris, par ailleurs, que l’entreprise en charge du projet a été remplacée à cause justement de ce retard. Le fameux projet a été confié à un autre entrepreneur lequel promet que la radio sera fin prête avant la fin de cette année. Est-ce donc la bonne et l’énigme sera-t-elle résolue ? La population brûle d’impatience pour écouter sa propre radio.
Source: La Dépêche de Kabylie daté du 4 août 2010


En chantier depuis 20 mois : Radio Tizi Ouzou émettra dans un an
Lancé en juillet 2008, le projet accuse 10 mois de retard. Au vu de la cadence des travaux, il n'est pas sûr que la radio de Tizi Ouzou émette avant la fin de l'année.
La première pierre du siège de la future radio de Tizi Ouzou a été posée par le wali le 5 juillet 2008. Près de deux années après son lancement, le projet qui devait être livré en 15 mois est toujours au stade de chantier. A voir de près la cadence des travaux, il n'est pas sûr que cette station en construction dans l'enceinte de la maison de la culture Mouloud Mammeri émette avant la fin de l'année. Les moyens humains engagés par les deux entreprises réalisatrices ne sont pas du genre à espérer l'achèvement rapide des travaux de cette structure composée d'un rez-de-chaussée et d'un étage et pour laquelle la wilaya a prévu 7,5 milliards de centimes.
« En principe, tout sera terminé dans quatre mois. A l'intérieur, tout est séparé. Il ne reste que l'enduit en plâtre et le revêtement du sol », dira un chef de chantier. « Il ne reste que 5% des gros œuvres à achever », a indiqué pour sa part une représentante d'un bureau d'études rencontrée sur les lieux. Excédé par le retard qu'accuse ce projet, le wali de Tizi Ouzou, Hocine Mazouz, a sommé les responsables des deux entreprises concernées à livrer le projet au plus tard le mois de mai prochain, faute de quoi il sera procédé à la résiliation du marché.
Ce nouveau délai sera-t-il respecté ? « Tout dépendra du renforcement des effectifs et de l'allure des travaux. Certes, le projet a été freiné au début en raison de l'opposition de riverains, mais ce n'est pas une excuse valable pour mettre tout ce temps, d'autant plus que des assurances ont été données par les deux entreprises quant à la livraison de la construction dans un délai de moins de 15 mois », a-t-on déploré. Le même désappointement aurait été exprimé par le ministère de la Communication et les responsables de la radio nationale (ENRS) qui se chargeront de l'équipement et de la gestion de la future radio de Tizi Ouzou.
« Le matériel nécessaire au lancement des émissions est prêt. Reste à fixer le délai de fin des travaux pour qu'on puisse lancer le concours de recrutement des équipes rédactionnelles, d'animation et autres. Nous envisageons de créer 26 postes d'emploi », a expliqué une source proche de ce projet. Dans un premier temps, Radio Djurdjura émettra de 6h à 14h. La tranche horaire augmentera de 5 h, une fois les équipes de production et de diffusion mises en place. Côté programme, la grille sera variée promet-on, puisqu'il y aura un peu de tout : informations, divertissement, éducation, sport.
Radio Djurdjura existait durant les années 1960. Ses programmes arrosaient une bonne partie de la Kabylie. Depuis, c'est le silence radio. Il a fallu attendre le 25 janvier 2007 pour apprendre officiellement par la voix de Azzedine Mihoubi, directeur général de l'ENRS à l'époque, l'ouverture d'une radio locale à Tizi Ouzou. A vrai dire, le projet a toujours été une idée défendue par l'Assemblée populaire de wilaya (APW) ces dernières années.
Le défunt Rabah Aïssat, alors président de l'assemblée de wilaya, avait provoqué quelques mois avant son assassinat, en octobre 2006, une réunion sur le sujet entre le wali et les cadres du ministère de la Communication. L'annonce, par voie de presse, de la relance de cette radio régionale, a été agréablement accueillie par la population. Un média de proximité aussi important, pour répercuter ses préoccupations quotidiennes, est fortement attendu. A quand le début des émissions ?
Source: El Watan daté du 17 février 2010 


***2009***

Radio Djurdjura émettra avant la fin de l'année
La radio Djurdjura de Tizi Ouzou émettra avant la fin de l'annéen selon le wali de Tizi Ouzou. Le personnel de la chaîne a été déjà recruté et les travaux avancent convenablement. Elle est implantée au niveau du même site que la maison de la Culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou. Pour la réalisation de cette station lancée depuis juillet 2008, une enveloppe de 4,5 milliards de centimes a été dégagée. 
La chaîne radiophonique de Tizi Ouzou a cessé d'émettre depuis 1960.
Source: Le Quotidien d'Oran daté du 5 mai 2009


***2008***


Tizi Ouzou
25 millions de Da pour la radio locale
Prévue à l'horizon 2010, cette radio s'inscrit dans le cadre de la politique nationale d'enrichissement en stations régionales.
Le projet de réouverture de la radio kabyle locale vient d'être doté d'une enveloppe budgétaire estimée à 25 millions de Da. Les autorités locales et les élus viennent, en effet, d'inscrire cette initiative dans le budget supplémentaire de l'année en cours et ont procédé ainsi au vote de ce budget qui permettra de lancer les travaux de réalisation.
Pour rappel, le wali a déjà inauguré et posé la première pierre pour le projet de réalisation du bâtiment qui accueillera cette station locale à l'occasion du 46e anniversaire de l'Indépendance.
En effet, ce projet de radio locale à Tizi Ouzou, vient combler le vide laissé par une ancienne radio locale dont ne se souviennent que les plus âgés. Celle-ci avait fait connaître des figures emblématiques du paysage médiatique de ce temps-là, à l'instar de Ferhat Oumalou. Après sa cessation d'émission en 1985, la région n'avait comme médias de langue kabyle, que la Chaîne II de la Radio nationale. Prévue à l'horizon 2010, cette radio locale s'inscrit également en droite ligne de la politique nationale d'enrichissement en stations régionales pour permettre aux citoyens d'avoir accès à une information de proximité plus riche.
La culture, elle aussi, y trouvera son compte car cette station qui émettra dans toute la périphérie du chef-lieu s'intéressera inévitablement à la vie quotidienne des citoyens. Elle sera le porte-voix de leurs préoccupations, leurs projets ainsi que leurs activités culturelles et citoyennes de tous les jours.
La future station locale de la radio kabyle viendra également enrichir le paysage médiatique national et régional. En effet, dans la wilaya de Tizi Ouzou, les citoyens reçoivent actuellement les programmes des stations nationales et régionales comme la radio Soummam, radio El Bahdja et les chaînes de la Radio nationale.
A rappeler aussi que la future radio locale aura son siège au niveau de la Maison de la culture Mouloud-Mammeri, sise au centre-ville de Tizi Ouzou. Les travaux de sa réalisation viennent juste de débuter après que les autorités locales lui aient attribué une assiette.
Celle-ci permettra, non seulement, au paysage médiatique de s'enrichir, mais elle donnera des chances aux nouveaux diplômés des sciences de la communication pour se faire une place et un avenir.
Elle jouera également un rôle important dans la maîtrise du domaine de la communication qui devient un instrument de domination culturelle, économique et stratégique dans un monde qui entre dans la mondialisation tous azimuts.
Source: L'Expression daté du 17 juillet 2008 



Tizi Ouzou
Lancement de la radio locale
La première pierre pour la réalisation de la radio locale de Tizi Ouzou a été posée, hier, par le wali à l'occasion de la célébration du 05 juillet. Le projet qui va coûter 42,9 millions de dinars, sera réalisé au niveau de la maison de la culture Mouloud-Mammeri pour un délai de 12 mois. La bâtisse comportera trois niveaux et 12 bureaux ainsi que tous les espaces (salles de mixage, de rédaction…) nécessaires pour le fonctionnement d'une radio. Pour rappel, la wilaya de Tizi Ouzou disposait d'une radio local (la radio Djurdjura) qui émettait jusqu'aux années 1970 avant d'être fermée. Les élus APW ont lutté pour sa réouverture, chose impossible car le matériel est très dépassé. A partir du deuxième trimestre 2009, Radio Djurdjura pourra émettre à nouveau. Ce qui sera d'un apport considérable pour la région sur le plan communication. Le deuxième projet qui a été lancé, hier, est celui du marché de gros qui sera réalisé sur un terrain situé à 7 km de la ville de Tizi Ouzou sur la rocade sud. D'une superficie de 23 ha, le terrain réservé à ce projet accueillera également un abattoir qui s'étendra sur 14 ha, le montant global du projet est de 1,286 milliard de dinars, il comportera 160 carreaux de vente et sera doté de toutes les commodités nécessaires dont des douches, un poste de sécurité, des aires de stationnement, une pharmacie, l'annexe d'une banque, des unités de restauration et des cafétérias, des KMS…, l'abattoir est d'une capacité d'abattage de 150 têtes bovines et 1 000 têtes ovines. Lors de cette même visite, il a été procédé à la remise des clés aux bénéficiaires des 163 logements Aadl de la commune de Tadmaït, un projet réceptionné avec un énorme retard dans la réalisation. Dans cette même localité, le wali a également inauguré l'échangeur sur la RN 12 dont l'enveloppe allouée est de 500 millions de dinars. Il est d'une longueur de 30 m et d'une largeur de 10 m et comporte deux voies.
Source: InfoSoir daté du 6 juillet 2008 



***2007***

Radio Tizi Ouzou à quand le début des émissions ?
La station existait durant les années 1960. Ses programmes arrosaient une bonne partie de la Kabylie au grand bonheur de ses auditeurs.
Depuis, c'est le silence radio. Il a fallu attendre le 25 janvier 2007 pour apprendre officiellement par la voix de Azzedine Mihoubi, directeur de l'ENRS, l'ouverture d'une radio locale à Tizi Ouzou. A vrai dire, le projet a toujours été une idée défendue par l'Assemblée populaire de wilaya (APW) ces dernières années. Le défunt de Rabah Aïssat, son président, avait provoqué quelques mois avant son assassinat une réunion sur le sujet entre le wali et les cadres du ministère de la Communication. L'annonce par voie de presse de la relance de cette radio régionale a été agréablement accueillie par la population. Un média de proximité aussi important pour répercuter ses préoccupations quotidiennes est fortement attendu. Une commission a été dépêchée d'Alger en août 2006 pour étudier la faisabilité technique du projet. Selon nos informations, Radio Djurdjura émettra à partir de Aïn El Halouf, un quartier situé sur les hauteurs de la ville de Tizi Ouzou. C'est le rez-de-chaussée de l'immeuble qui devra abriter les studios. Pour faire vite, il sera procédé à l'installation provisoire de la station en attendant la réalisation d'un siège. « Le projet est en bonne voie », a annoncé le wali de Tizi Ouzou, Hocine Mazouz, mais sans préciser la date du début de la diffusion des programmes. S'exprimant lors de la dernière session de l'APW, il a indiqué en substance : « La radio est inscrite. Elle sera réalisée et commencera à émettre le plus tôt possible. Les équipements, les moyens de transport et le personnel sont prêts. » Notons que le projet est inscrit au budget supplémentaire de la wilaya pour l'année 2007 qui vient d'être voté par les élus. En effet, une subvention de 50 millions DA sera débloquée pour l'achèvement des travaux des bureaux de la future radio de Tizi Ouzou.
Source: El Watan daté du 19 août 2007 



***2006*** 


44e anniversaire du recouvrement de la souveraineté de la radio
C'est une radio algérienne qui s'inscrit, colle et s'arrime à l'air du temps, célébrant son 44e anniversaire du recouvrement de sa souveraineté (avec la télévision aussi), en s'amendant au fil des années de par une ambition foncièrement affichée.
Création, professionnalisation et interactivité”. Telle sont les maîtres mots prônés par M. Azzedine Mihoubi, DG de l'ENRS résumant l'habillage et autre teneur radiophonique toutes chaînes confondues. La Radio algérienne s'est fixée un plan d'action efficient et effectif en relevant plusieurs défis de front. “Notre défi premier est incontestablement la numérisation de la radio. Un facteur diligent, créatif, qualitatif et d'une grande économie de temps. Vous savez, l'Afrique, en matière de radio est numérisée. Le processus de numérisation, est effectivement, en cours. Ainsi qu'un formation permanente. Il existe un volonté pour créer de très bonnes conditions de travail professionnel à la radio...”, indique à ce propos Azzedine Mihoubi. L'objectif immédiat de la radio(nationales et régionales) est de fidéliser un auditeur permanent. A titre indicatif, la radio algérienne diffuse 187 000 heures par an, 540 heures par jour dont 40% sont des programmes consacrés à l'interactivité. En 2007, la radio compte atteindre les 200 000 heures par an. Toujours dans cette dynamique d'ouverture et couverture radiophonique, une dizaine de radios locales qui, virtuellement, émettront en 2007. Il s'agit celles de Aïn Témouchent, Saïda, Tissemsilt, Djelfa, Tizi Ouzou, Médéa, Khenchela, Guelma, Bordj Bou Arréridj et Oum El Bouaghi, en s'ajoutant au 32 radios actuellement opérationnelles à travers le pays. “ Notre autre défi, c'est de dépasser le cap des 60 chaînes radios en 2009...” envisage M. Mihoubi. Parmi les projets immédiats figurent le lancement incessamment de la radio internationale d'information continue, deux autres radios thématiques (sport-jeunesse et économie), l'intégration du bouquet des radios algériennes (nationales et locales) au sein du streaming (internet). Le site approprié est en construction et dont la rédaction diffusera des informations en continu, en temps réel et en langue arabe et français. Trois périodiques spécialisés - les mensuels Radios Amouadj (arabe et français) et Radio Coran - seront édités dans quelques jours. En ce qui concerne l'ouverture sur l'Afrique, après la diffusion des programmes en langue hawsa en permanence depuis la radio de Tamanrasset-très écoutée par les pays riverains-il est prévu une autre émission en langue swahili. Comme l'a prouvé la synergie entre la radio et la TV, à travers le succès de la Caméra cachée( dans les studios de la radio) réalisée par Djaâfar Gacem (SD BOX) , une convention-cadre sera paraphée, aujourd'hui, entre l'ENTV et l'ENRS en matière d'échanges de programmes, production, formation, partenariat...Par ailleurs, M. Azzedine Mihoubi, a annoncé la tenue du concours du Micro d'or(award radiophonique) récompensant les meilleurs animateurs, réalisateurs, producteurs, émissions...” Un pris pour encourager et créer l'émulation parmi les acteurs et actants de la radio dans toute sa dimension plurielle. Ce 44ème anniversaire de la radio a été célébré avant-hier, à l'hôtel Aurassi d'Alger où des figures et voix emblématiques de la radio ont été honorées de leur vivant ou à titre posthume comme le poète Djamel Amrani, Mohamed El Badji, le maître du chaâbi, Zahra Halit, Abderrahmane Cheriet...
Source: El Watan daté du 2 novembre 2006 


Radios régionales
Quels moyens pour le tout numérique ?
Sur les quelque 17 wilayas ne disposant pas encore d'une station de radio régionale, une dizaine devra l'être avant la fin 2007.
Parmi elles Tizi Ouzou, dont I'APW a dernièrement proposé sa contribution pour permettre d'accélérer la réalisation de ce projet. Selon le nouveau directeur général de la Radio nationale, Azzedine Mihoubi, que nous avons approché en marge du troisième séminaire sur les radios régionales, qui a pris fin dimanche dernier à Béjaïa, la prospection est lancée pour trouver le siège qui abritera la station. « Une commission s'est déplacée à Tizi Ouzou pour cela », nous a-t-il dit. Ce qui pourrait être la Radio Djurdjura, très possible dénomination, aura de la voix et viendra bousculer son aînée Soummam et tenter de séduire les auditeurs kabyles. La même concurrence est permise dans les régions du Hodna, d'El Hidhab, des Aurès... En attendant l'ouverture du champ audiovisuel au privé (non encore au programme), le projet du ministère de la Communication a cela d'avantageux : il permettra une concurrence qui imposera de satisfaire l'exigence de la qualité. Notamment sur le plan des programmes. A l'horizon 2009, on se bousculera sur les ondes, on devra compter 48 radios locales à travers le territoire national. Une radio donc pour chaque wilaya. Soit un ambitieux programme d'investissement qu'il faudra impérativement conjuguer à l'exigence de la qualité. Le ministère de la Communication entend armer la Radio nationale en outils de la modernité pour lui permettre de suivre le rythme de la concurrence mondiale. Pour ce faire, la numérisation totale est promise avant le 31 décembre 2007. 16 mois en somme pour répondre à cette exigence. Des responsables de radios régionales ont demandé de pouvoir disposer de consoles numériques pour pouvoir achever l'opération de numérisation entamée dans leur station. Sur-le-champ, la réponse a été négative. Alors, la Radio nationale, promise au statut de « grand et puissant pôle médiatique », a-t-elle les moyens de sa politique ? Certaines stations, dont la Radio Soummam qui a été la pionnière dans le domaine, se sont mises au numérique depuis 2003 sans pour autant arriver à une numérisation complète puisque la diffusion passe toujours par des consoles analogiques. L'achèvement de l'opération est tributaire de ces consoles numériques dont l'acquisition n'est pas dans leurs cordes. Un matériel qui coûterait cher. Quelles priorités donc pour la tutelle dans les projets d'équipement des stations radiophoniques ? Pour l'heure, prioriser les radios partiellement numérisées ne semble pas être l'option prise. A la lumière de l'exposé du responsable des radios régionales au séminaire de Béjaïa, le budget d'équipement de la Radio nationale ne prévoit pas encore ce genre d'acquisition pour ces stations radiophoniques. Du moins pas pour beaucoup parmi les anciennes, au contraire de celles à créer et surtout pour les chaînes nationales, du fait de leur statut, dont « les consoles numériques sont arrivées ». Pourtant, M. Mihoubi, à la tête de la Radio nationale depuis près de deux mois, appuie, avec conviction, l'échéance déjà avancée pour la numérisation de toutes les stations radio. « Ce sera fait avant la fin 2007 », nous a-t-il répondu. En attendant, huit radios régionales, Laghouat, Tiaret, Jijel, Batna, Constantine, Tamanrasset, Adrar et Sidi Bel Abbès, ne sont pas dotées encore de réseaux informatiques. L'installation est à prendre en charge dans le cadre d'un programme que la direction de la Radio nationale dit avoir tracé. Si pour certaines de ses radios l'obstacle a été jusque-là d'ordre technique, les trois dernières stations précitées, par exemple, ont buté, par contre, sur la problématique de l'autofinancement. Leur manne publicitaire étant maigre, la moindre acquisition est au-dessus de leurs capacités financières. Ceci n'a pas empêché l'interpellation des responsables des radios régionales pour faire l'effort de compter sur les rentrées publicitaires : « Il faut faire le deuil du temps où l'on sollicite la direction pour l'achat même d'un rouleau de scotch. » Grand défi sur les ondes.
Source: El Watan daté du 24 août 2006 

 

mercredi 7 septembre 2011

Projet de l'agrandissement de l'aéroport Abane Ramdane de Béjaia

Projet: extension de l'aéroport Abane Ramdane de Béjaia (Bgayet).
Etat des lieux du projet: le projet n'est toujours pas inscrit à l'ordre du jour.
Première mention du projet: 2009, mais ce n'est que la reprise de la partie non réalisée des travaux de 2006-2007 (voir l'article de 2007).


LE SUIVI DU PROJET

***2011***

Des opérateurs interpellent Amar Ghoul

Ils s'inquiètent sur le sort réservé à la pénétrante et l'extension de l'aéroport Abane Ramdane.
Les rumeurs et les déclarations contradictoires rapportées par la presse quant à la concrétisation du projet de la pénétrante sur Béjaïa à partir de l'autoroute Est-Ouest et la non-inscription du projet d'extension de piste de l'aéroport Soummam-Abane Ramdane de Béjaïa, inquiètent la Chambre de commerce et de l'industrie de Béjaïa. Et c'est à juste titre qu'elle a saisi par écrit, le ministre des Travaux publics et l'a interpellé sur «l'absence de communication claire et transparente sur la réalité du projet de la pénétrante, son aspect technique et son échéance de réalisation». S'exprimant au nom de tous les opérateurs économiques publics et privés, la CCI de Béjaïa fait un constat de la situation du réseau routier dans la wilaya de Béjaïa relevant au passage que Béjaïa «est loin d'être au diapason des autres wilayas». Les principaux axes routiers de la wilaya sont dans un état de dégradation très avancée et complètement saturés. Comme si cela ne suffisait pas, on ajoute l'implantation de dos-d'âne non conformes à la réglementation mettant souvent en danger la vie des usagers.
Les transporteurs de voyageurs et de marchandises en pâtissent durement. Dans un exercice de comparaison, la CCI ajoute: «De gros efforts ont été consentis et des réalisations ont vu le jour en un temps record dans d'autres wilayas alors que Béjaïa n'a bénéficié que d'une inscription budgétaire dont les lendemains sont laissés incertains et au colportage de promesses et rumeurs qui font très mal.» La non-prise en charge de l'extension de la piste d'atterrissage de l'aéroport de Béjaïa est l'autre projet sur lequel s'est focalisée la CCI pour interpeller le ministre des Travaux publics sur des éclaircissements rendus nécessaire par des informations inquiétantes jamais démenties. Figurant parmi les infrastructures aéroportuaires les plus rentables du pays, à l'exemple d'Alger, Hassi Messaoud, Hassi R'mel, Oran et Tlemcen, l'aéroport Soummam-Abane Ramdane est oublié dans les projets d'extension, de revêtement et de rénovation des infrastructures aéroportuaires, que le département des travaux publics a programmés avec une dotation de 40 milliards de DA.
Le ministre des Transports avait pourtant montré la voie en donnant le feu vert pour l'étude et la réalisation de l'extension de la piste d'atterrissage de cet aéroport international. Mais le département de Amar Ghoul n'a pas jugé utile de suivre la même voie.
Ce qui n'est pas sans susciter des inquiétudes chez les opérateurs économiques pendant que la classe politique se fige dans un silence inexpliqué. Il est utile de rappeler qu'en 2010, la Commission nationale des marchés publics (Cnmp) a validé l'attribution provisoire du projet de la pénétrante au groupement de bureaux d'études sud-coréen Kungdong-Saman pour un peu moins de deux millions d'euros. Mais depuis, rien n'est venu conforter l'optimisme né au lendemain de l'annonce même de ce projet.
La pénétrante devrait relier la ville de Béjaïa à l'autoroute Est-Ouest au niveau de M'chedallah, dans la wilaya de Bouira. La pénétrante, qui traversera les localités de Sidi Aïch et d'Akbou, sera réalisée en deux fois deux voies et pourra être élargie ultérieurement à deux fois trois voies. Les travaux de réalisation de cette autoroute devraient commencer dès 2012, après le lancement de l'appel d'offres.
On en est à quatre mois et on ne sait même pas si l'étude est achevée ou pas. La pénétrante autoroutière de Béjaïa va désengorger la ville et son port, en allégeant le poids du trafic routier sur les RN 9, 12 et 26, actuellement saturées. Cette pénétrante va aussi favoriser le développement économique de la vallée de la Soummam où sont implantées de nombreuses entreprises privées dans l'agroalimentaire dont Ifri le leader de la production d'eau minérale.
Source: L'Expression daté du 20 août 2011



AÉROPORT SOUMMAM ABANE-RAMDANE: Quand les travaux publics oublient Béjaïa
Les aérodromes de Tiaret, Timimoun, In amenas, Jijel, Chlef, Biskra, Tindouf et Tamanrasset sont concernés, mais pas celui de Béjaïa.

Figurant parmi les infrastructures aéroportuaires les plus rentables du pays, à l'exemple d'Alger, Hassi Messaoud, Hassi R'mel, Oran et Tlemcen, l'aéroport Soummam- Abane Ramdane est oublié dans les projets d'extension, de revêtement et de rénovation des infrastructures aéroportuaires, que le département des travaux publics a programmés avec une dotation de 40 milliards de DA.

Le ouf de soulagement, poussé après le feu vert donné par le ministre des Transports en mai dernier, en marge de sa visite à Béjaïa, n'a pas été suivi d'effet. Le département d'Amar Ghoul n'a pas suivi le pas pour l'instant. Amar Tou avait pourtant montré la voie en donnant le feu vert pour l'étude et la réalisation de l'extension de la piste d'atterrissage de cet aéroport international.
Ce programme dont une enveloppe financière de 11 milliards de dinars a été consacrée aux projets de réhabilitation et de modernisation des infrastructures aéroportuaires au 1er semestre 2011, a vu l'achèvement et la livraison des quatre projets dont l'extension de la piste de l'aérodrome d'Essenia (Oran) de 3000 m à 3600 m et le renforcement du revêtement de la piste principale de ceux de Ouargla et de Tindouf et une opération de réalisation des bouts de piste en béton pour l'atterrissage et le décollage des avions militaires à l'aérodrome d'Adrar. Des avis d'appel d'offres ont été lancés au cours du premier semestre 2011 pour la réalisation de plusieurs projets dont le lancement est prévu au cours du 2e semestre 2011. Ce programme englobe l'extension du taxiway de la piste secondaire de l'aérodrome d'Alger et le renforcement du revêtement des aérodromes de Tiaret, Timimoun (Adrar), In Amenas (Illizi), et la piste principale de l'aéroport de Jijel, ainsi que l'intégration de bouts de piste en béton notamment aux aérodromes de Bordj Badji Mokhtar (Adrar), Chlef, Biskra, El Bayadh, Tindouf et Tamanrasset, a indiqué récemment le directeur des infrastructures aéroportuaires. L'aéroport Soummam Abane-Ramdane ne figure que sur la liste des aéroports opérationnels ouverts à la circulation aérienne publique situés au niveau de 24 wilayas et pour lesquels une enveloppe de plus d'un milliard de dinars a été consacrée dans le cadre du programme quinquennal (2010-2014) pour l'entretien périodique. L'élargissement de la piste d'atterrissage, rendu nécessaire par l'évolution du trafic au niveau de cet aéroport, n'est pas au programme. il sera peut-être dans le prochain quinquennal. L'espoir existe. Il est utile de rappeler qu'une fermeture de l'aéroport international Soummam Abane-Ramdane a duré 9 mois durant l'année 2007.
Source; L'Expression daté du 4 août 2011 




AÉROPORT DE BÉJAÏA : Feu vert pour l’extension de la piste d’atterrissage

Ouf! sommes-nous tentés de dire, car elle était prévue de longue date.

Amar Tou a indiqué que son département a donné le feu vert pour l’étude et la réalisation de l’extension de la piste d’atterrissage de l’aéroport Soummam Abane-Ramdane. C’est la principale information à retenir de la visite ministérielle entreprise, hier, dans la capitale de la Soummam. Prévue de longue date, l’extension de la piste de cet aéroport prendra forme si toutefois, le département de Amar Ghoul suit le pas. Quant à la gare maritime, le lancement des travaux de réalisation interviendra juste à la fin de la saison estivale.
Un léger retard imposé par le souci de ne pas incommoder les voyageurs en cette période estivale. Profitant de son passage à Béjaïa, le ministre des Transports a confirmé que l’étude de faisabilité du téléphérique de Béjaïa est confiée à un bureau d’études. Il en est de même pour la rénovation du tronçon de la ligne ferroviaire Béjaïa-Beni Mansour.
Par ailleurs, le ministre a officiellement donné le coup de d’envoi de la mise en circulation de 5 nouveaux bus de l’entreprise des transports urbains de la ville de Béjaïa. Ils s’ajoutent aux dix autres déjà opérationnels en attendant la trentaine à long terme. Ces cinq bus comptent parmi les 1020 autres prévus au niveau national.
Une opération qui entre dans le cadre de la protection de l‘outil de production nationale puisque tous ces bus sont fabriqués par Sonacome.
Une deuxième gare routière est prévue dans la ville d’Akbou, a annoncé Amar Tou qui fera part aussi de projets de réalisation de trois circuits d’auto-école à Béjaïa. Ils figurent parmi les cent prévus au niveau national. Opérationnelle depuis deux semaines, la nouvelle gare routière de Béjaïa était la première halte de la délégation ministérielle. Amar Tou s’est enquis de la situation de cette structure à la lumière des quelques jours d’entrée en service. Cette infrastructure fait l’objet d’un intérêt particulier. Tout le monde veut y travailler et y louer les locaux. Cela vaut le coup lorsqu’on sait le nombre de voyageurs qui y transitent chaque jour. Pour l’heure, seules les 17 liaisons interwilayas ont pris place dans cette nouvelle gare, les lignes interurbaines le seront bientôt dans les 50 couloirs interurbains qui desserviront les communes de la wilaya de Béjaïa. «Les locaux à usage commercial ne sont pas encore attribués», a tenu à rassurer le responsable de la gare routière précisant que «les cahiers des charges sont disponibles au niveau de la direction des transports de Béjaïa». Quant à l’exploitation des lignes internes à la wilaya, elle se matérialisera vers la mi-juin. Confiée à l’entreprise Sogral (Société d’exploitation et de gestion de la gare routière d’Alger, dont le P-DG M.Moualef était de la délégation ministérielle, la nouvelle gare routière est située à proximité des Quatre-Chemins, à l’entrée de la ville de Béjaïa. Elle s’étale sur une superficie de 4 hectares. Elle se décline comme «l’une des plus belles gares à l’échelle national».
Un qualificatif réitéré encore hier par le ministre des Transports. Elle est spacieuse et offre de meilleures conditions et divers services aux voyageurs, dont la restauration, une banque, une poste etc. Tout y est pour accueillir les voyageurs dans des conditions dignes au niveau des salles d’embarquement.
L’administration et les services sont implantés à l’étage. La nouvelle gare routière de Béjaïa compte, à côté de celle de Sidi Bel Abbès, parmi les deux gares finalisées sur les 13 prévues au niveau national dans le cadre du programme présidentiel.
Source: L'Expression daté du 25 mai 2011



***2010***

Bejaia : 419 milliards de dinars pour la wilaya dans le cadre du quinquennat 2010-2014

C’est, sans conteste, le secteur des travaux publics qui se sera taillé la part du lion est-il noté avec, effectivement, 288,5 milliards de dinars qui lui sont alloués, soit 62% du montant global de l’enveloppe (419 milliards de dinars).
Cette quote-part substantielle concernera, dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014 la réalisation de la pénétrante autoroutière (Bouira-Bejaia) de l’autoroute Est-Ouest ainsi que la modernisation de quelques 256 km de routes et autres travaux maritimes. Ce secteur est talonné par celui de l’habitat , doté d’une enveloppe de 59,5 milliards de dinars et ayant pour objectif la réalisation de 31500 logements dans le cadre, toujours, du quinquennal enclenché et en cours. Répartis comme suit : 16.000 logements ruraux,  9.500 logements sociaux et 6.000 autres logements participatifs. Un programme déjà lancé et en cours de réalisation, la wilaya ayant déjà réceptionné 2.000 logements ruraux distribués à leurs bénéficiaires ainsi que 2.000 autres logements sociaux «qui sont affectés en fonction des disponibilités foncières dégagées à travers la commune», précise-t-on au niveau du cabinet de la wilaya. L’on ajoute que «le programme de logements est appelé à être renforcé à mesure que les travaux avanceront et que seront dégagées des assiettes foncières». Onze projets d’alimentation en eau potable (AEP), douze projets d’assainissement, deux stations d’épuration des eaux usées, un barrage dans la région de Beni Ksila (côte ouest) ainsi que trois grands forages, tels sont les mégaprojets dont vient de bénéficier le secteur de l’hydraulique auquel sont affectés 23 milliards de Dinars. Sept autres secteurs ont également accès, chacun, à un budget «spécial quinquennal 2010-2014» propre. Il s’agit des secteurs de la santé (12 milliards de dinars), de l’éducation (8 milliards de dinars), de l’énergie (9,5 milliards de dinars), de l’enseignement supérieur (6,5 milliards de dinars), de l’agriculture (5,5 milliards de dinars), de la jeunesse et des sports (3 milliards de dinars), et celui de la justice ( 3 milliards de dinars). Dans le détail , le premier verra la réalisation d’un hôpital de 500 lits pour un CHU, de quatre polycliniques ainsi que l’aménagement et l’équipement de structures de la santé au niveau de la commune. Dix lycées, treize  collèges, 337 salles de classe, vingt - huit  internats, demi-pensions et cantines ainsi que vingt-neuf infrastructures sportives constitueront la cagnotte du second alors que le troisième (l’énergie) bénéficiera d’un programme de gaz de ville pour le raccordement de 50.000 foyers (ce qui portera le taux dans ce domaine à plus de 60% en 2014), sans compter le raccordement à l’électricité de 3410 foyers. Neuf mille places pédagogiques, 4500 lits et cent cinquante logements c’est pour l’université. Trois dispositifs qui sont le fonds de développement rural et mise en valeur des terres, le fonds national de développement des investissements agricoles et le fonds national de régulation de la production agricole constitueront le polygone de sustentation du développement du secteur de l’agriculture. Le sixième secteur enrichira ses infrastructures avec l’acquisition, notamment, de deux  salles omnisports d’une capacité de 500 places chacune ,de onze  maisons de jeunes, sept  complexes sportifs de proximité, huit  salles polyvalentes, quatre  auberges de jeunesse, seize  aires de jeux, cinq  piscines, deux terrains de football  et deux  camps de jeunes.  Une cour de justice et un tribunal administratif à Béjaia verront également le jour dans le cadre du quinquennal 2010-2014. Par ailleurs , pour un montant de  02 ,5 milliards de Dinars, il sera réalisé 20 projets pour la DGSN, et 12 autres au profit de la protection civile afin de renforcer la couverture sécuritaire de la wilaya de Bejaia. Le secteur de la formation professionnelle n’est pas en reste avec une enveloppe de 02,3 milliards de Dinars (objectif : 7 instituts (INSFP), 2 CFPA, 4 bibliothèques et 4 internats). La culture se verra « remettre » un musée archéologique régional, une salle de 6.000 places (Type Zénith), à Ireyyahen (Route Bejaia-Amizour), 1 bibliothèque principale, 1 institut régional de formation musicale , 18 sites culturels restaurés et un nouveau siège pour la direction de la culture. Le secteur de la communication a bénéficié, quant à lui,  de 1,1 milliard de dinars pour l’amélioration et l’extension de la couverture de la télévision et de la radio au niveau de la wilaya de Bejaia, la réalisation du réseau de TV numérique terrestre (TNT) et réseau de transmission FH. Ne pas omettre la réalisation de divers autres projets dans différents secteurs tels que le plan d’aménagement de la wilaya, le schéma directeur d’aménagement touristique, 2 plages d’échouage, 2 centres de l’artisanat, une pépinière d’entreprises, 2 marchés de gros couverts, la modernisation de l’infrastructure postale ainsi que des infrastructures liées aux secteurs de la solidarité nationale, des moudjahidine et des affaires religieuses. Il convient enfin de noter que l’enveloppe financière des projets du secteur des transports et des PCD viendront en complément des 419 milliards de dinars. Le secteur des transports a, en effet  bénéficié d’importants projets (téléférique, tramway, dédoublement et électrification de la voie ferrée entre Bejaia et Beni Mansour, l’extension de l’aérogare de l’aéroport Abane Ramdane ainsi que la réalisation de plusieurs gares routières…).
Source: El Moudjahid daté du 19 septembre 2010



***2009***

De nouveaux investissements pour l'aéroport de Béjaïa

Extension de l'aérogare et de la piste d'atterrissage, séparation du trafic domestique et international, nouvelle zone d'accueil… sont autant de travaux qui seront lancés pour multiplier et améliorer les prestations de cette structure.
Avec les améliorations apportées à tous les niveaux, l'aéroport Abane-Ramdane de Béjaïa est en passe d'acquérir une autre dimension. Extensions, améliorations continues des prestations et flux de voyageurs en augmentation distinguent désormais cette structure. L'aéroport Abane-Ramdane va bénéficier, avance-t-on, d'un nouvel investissement visant à la fois l'agrandissement de sa piste d'atterrissage et l'extension de son aérogare. La piste, qui a déjà subi en 2007 une rénovation intégrale sur une distance de 2 400 mètres, va pouvoir être ainsi étendue à 3 000 mètres. Quant à l'aérogare, qui a fait également en 2007 l'objet d'un “remodelage”, une nouvelle zone d'accueil de sorte à séparer les espaces arrivées et sorties, mais également le trafic international du trafic domestique est projetée. Nul doute qu'avec cette nouvelle extension, l'aéroport de Béjaïa doublera inéluctablement ses capacités, au grand bonheur des voyageurs venant de nombreuses régions du pays.
À ce propos d'ailleurs, le directeur de l'aéroport de Béjaïa, M. Kerrouche, dira à propos des performances réalisées durant cette année qui tire à sa fin : “En 2008, notre aéroport a accueilli 205 312 passagers. Pour cette année 2009, notre bilan au mois d'octobre seulement est de 190 000 passagers, mais à la fin décembre, nous aurons environ 230 000. Outre les prestations, cette évolution résulte de la réduction des tarifs appliqués mais aussi de l'ouverture de nouvelles lignes, à l'image de celle d'Oran.” M. Kerrouche évoquera aussi l'acquisition renouvelée par structure d'un matériel sophistiqué, comme il a également mis en avant l'extension de l'aéroport Abane-Ramdane. “L'étude et la concrétisation sur le terrain sont en bonne voie”, conclut-il. Pour rappel, le ministre des Travaux publics, Ghoul, a mis l'accent sur cette extension de l'aéroport de Béjaïa et ce, en marge d'une visite marathon effectuée le lundi 9 novembre 2009 dans la capitale des Hammadites.
Abordant le brûlant dossier de l'heure, à savoir la grippe porcine, M. Kerrouche estime que le dispositif mis en place au sein de sa structure pour lutter contre cette grippe est efficace, précisant également que “la vigilance a été de mise aussi durant l'arrivée de nos hadjis”.
À noter enfin que cet aéroport a été baptisé Abane-Ramdane par décret présidentiel en 1999. Il a été inauguré en 1982 en vols nationaux et en 1993 en vols internationaux.
Source: Liberté daté du 8 décembre 2009 

Algérie: Agrandissement prochain de l'aéroport de Bejaia

L'aéroport "Abane Ramdane-Soummam" de Bejaia va bénéficier d'un nouvel investissement visant à la fois l'agrandissement de sa piste d'atterrissage et l'extension de son aérogare, a-t-on appris de la Direction des travaux publics (DTP).
Au préalable, il sera recouru à une étude technico-physique notamment pour l'agrandissement de la piste, qui va nécessiter une "approche sophistiquée" dés lors où l'extension va se faire vers le côté de la mer, exigeant pour se faire une "technologie de pointe", a indiqué la même source.
La piste qui a déjà subi en 2007, une rénovation intégrale sur une distance de 2400 mètres, va pouvoir être ainsi étendue à 3.000 mètres avec cette particularité qu'une de ses extrémités et tout la POR (piste occasionnellement roulable), soient gagnées sur la mer.
"D'où l'impératif de recourir à un bureau d'étude international spécialisé" a souligné la même source, assurant que cette "option en off-shore sera une première en Algérie".
Quant à l'aérogare, qui a fait également en 2007 l'objet d'un profond lifting, il est question de lui rajouter une nouvelle zone d'accueil de sorte a séparer les espaces arrivées et sorties, mais également, le trafic international du trafic domestique.
Avec la réalisation de ces nouvelles structures, l'aéroport qui traite, bon an mal an, quelque 100.000 passagers dont 60 % à l'international, entend doubler ses capacités d'accueil et constituer une alternative de voyage pour un grand nombre de voyageurs issus des wilayas limitrophes, notamment Jijel, Bouira et Tizi-Ouzou.
Source: La Tribune daté du 23 novembre 2009

***2008***
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***2007***


L’aéroport de Béjaïa reprend du service

L’aéroport Soummam - Abane Ramdane de Béjaïa a rouvert ses portes dimanche, en recevant son premier vol depuis 9 mois où il a été fermé pour travaux de réfection.
Le B737 d’Air Algérie s’est posé sur le nouveau tarmac dans la matinée de dimanche, en provenance d’Alger, pour reprendre les airs à destination de Paris. D’autres vols de la compagnie française Aigle Azur ont aussi inauguré le nouveau programme de vols qui est appelé à augmenter.
L’aéroport a ainsi repris ses activités après un vol d’homologation qui a eu lieu une semaine plus tôt sur une piste d’atterrissage totalement retapée mais restée dans ses 2400 m. Son extension sur la mer avec une longueur supplémentaire de 600 m ne sera pas pour cette fois-ci. Tout comme le décret de re-classification en un aéroport international de catégorie B, proposé officiellement à la signature, non encore promulgué. « Administrativement, tout est fait. Il s’agit d’un décret de re-classification qui concerne un ensemble d’aéroports », nous explique le directeur des transports de la wilaya, M. Amirouche. « Nous n’avons pas été destinataires de ce décret, mais l’aéroport est international du moment qu’il assure des vols vers l’étranger.
L’essentiel pour nous est dans les conditions d’accueil que nous assurons pour satisfaire les passagers », nous répond M. Kerrouche, le premier responsable de l’aéroport de Béjaïa, rouvert avec un meilleur confort et un cadre agréable qu’offrent les nouveaux équipements dont des scanners, le matériel de téléaffichage et informatique, l’extension de l’aérogare désormais capable de contenir jusqu’à 1000 passagers... Prévue pour 6 mois à partir de juin 2006, la fermeture de cet aéroport a été différée à octobre pour l’éloigner de la période d’été, sous la pression des élus de l’APW. Elle a finalement duré 9 mois pour une réouverture qui a, tout de même, satisfait les nombreux voyageurs, contents de pouvoir rallier directement Béjaïa par voie aérienne.
Source: El Watan du 26 juin 2007