vendredi 9 septembre 2011

Le projet de la radio de Tizi Ouzou

Projet: création d'une radio locale à Tizi Ouzou.
Etat des lieux du projet: lancement prévu le 1er novembre 2011
Première mention du projet: en 2006


LE SUIVI DU PROJET



***2011***

Radio Djurdjura de Tizi-Ouzou
L’inauguration prévue le 1er novembre
A moins d'une surprise de dernière minute, Radio Djurdjura domiciliée à Tizi-Ouzou sera, enfin, inaugurée le 1er novembre prochain. C'est ce que nous avons appris hier de sources sûres.
La radio en question émettra pour la première fois ou bien le 28 octobre, qui coïncide avec la Journée nationale de la radio ou bien le 1er novembre, date anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale, ajoute notre source.
A partir du 2 septembre prochain, la direction de la radio mettra le paquet pour apporter les dernières retouches nécessaires pour la mise en service de Radio Djurdjura.
Les tranches horaires de diffusion n'ont pas encore été arrêtées, a-t-on également appris. En revanche, tout le matériel nécessaire pour le bon fonctionnement de cette radio a été acquis.
Rappelons que l'inauguration de Radio Djurdjura n'a pas cessé d'être reportée pour une multitude de raisons.
Le siège de la nouvelle radio est situé au centre-ville à proximité de la maison de la culture Mouloud-Mammeri et à 1 jet de pierre du siège de la wilaya.
A moins d'une surprise de dernière minute, Radio Djurdjura domiciliée à Tizi-Ouzou sera, enfin, inaugurée le 1er novembre prochain. C'est ce que nous avons appris hier de sources sûres.
La radio en question émettra pour la première fois ou bien le 28 octobre, qui coïncide avec la Journée nationale de la radio ou bien le 1er novembre, date anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale, ajoute notre source.
A partir du 2 septembre prochain, la direction de la radio mettra le paquet pour apporter les dernières retouches nécessaires pour la mise en service de Radio Djurdjura.
Les tranches horaires de diffusion n'ont pas encore été arrêtées, a-t-on également appris. En revanche, tout le matériel nécessaire pour le bon fonctionnement de cette radio a été acquis.
Rappelons que l'inauguration de Radio Djurdjura n'a pas cessé d'être reportée pour une multitude de raisons.
Le siège de la nouvelle radio est situé au centre-ville à proximité de la maison de la culture Mouloud-Mammeri et à 1 jet de pierre du siège de la wilaya.
Source: Le Midi Libre daté du 30 août 2011 


De la prison ferme pour les agresseurs du journaliste de la radio

Le tribunal correctionnel de Tizi Ouzou a condamné aujourd’hui dimanche les deux agresseurs du journaliste de la radio nationale Khaled Akchout à la peine de 6 mois de prison ferme pour outrage à un fonctionnaire pendant l’exercice de ses fonctions.
Les deux peines sont assorties d’une amende de 20 000 dinars et le versement de 50 000 dinars comme dommage et intérêts à la victime pour chacun des deux mis en cause.
Notre confrère Khaled Akchout, chargé du suivi du projet de réalisation de la station de radio de Tizi Ouzou, a été victime d’une agression au moment ou il quittait son bureau provisoire situé dans l’enceinte de la maison de la culture Mouloud Mammeri de la ville de Tizi Ouzou.
Il s’en est sorti avec un arrêt travail de 15 jours suite à cette agression. Ses deux agresseurs étaient venus demander de l’emploi au sein de la radio locale mais les réponses de son responsable n’étant pas de leur goût ils l’ont agressé.
Joint au téléphone par Algerie Plus à l’annonce de ce verdict,  Khaled Akchout n’a pas caché sa satisfaction que ses deux agresseurs soient corrigés tout en saluant l’élan de solidarité qui s’est exprimé à son adresse suite à cette agression.
Source: Algérie Plus daté du 22 mai 2011


Le journaliste Khaled Akchout raconte son agression à l’intérieur de la Maison de la Culture

Chargé d'un projet de radio dans la wilaya de Tizi Ouzou, le journaliste Khaled Akchout a été agressé physiquement mercredi 11 mai sur son lieu de travail par deux hommes. L’agression s’est déroulée dans le bureau  provisoire qu'occupe Khaled au niveau de la Maison de la culture Mouloud Mammeri, sous les yeux « de cinq agents de sécurité » qui n’ont pas bronché. Atteinte d’un traumatisme cervical, la victime a déposé plainte contre ses agresseurs et dénonce la « non assistance à personne en danger. » DNA a recueilli son témoignage.

Il est presque 10 heures ce mercredi 11 mai et le journaliste Khaled Akchout se trouve  dans son bureau provisoire au niveau de la Maison de la culture Mouloud Mammeri au centre de la ville. « Deux hommes, habitant un quartier dit ’Million’ limitrophe au siège de la radio et celui de la maison de la culture, se sont présentés dans mon bureau pour demander du travail, comme agent de sécurité ou chauffeur. Je leur explique que le recrutement n’a pas encore démarré et que la radio est toujours en chantier », raconte M. Akchout.
Les deux hommes, qui ne sont pas à leur première « visite », reviennent à la charge. « Ils insistent sur le fait que les habitants de la Cité ‘’Million’’ sont prioritaires pour les postes emploi au niveau de la future radio», se souvient notre interlocuteur.
Khaled tente une autre explication pour les convaincre. « Je leur explique encore que la radio ne recrute pas selon des quotas de quartiers », dit-il.  Visiblement, non satisfaits, les visiteurs quittent les lieux.
Pas pour longtemps. Une demi-heure s’écoule. Les deux jeunes, munis d’armes blanches et d’une bombe lacrymogène, déboulent dans le bureau du journaliste. « On est dans le couloir. Ils commencent  à proférer des insultes et menacent d’incendier la radio et de m’empêcher d’y accéder.»
La situation dégénère vite. Les assaillants passent à l’acte. « Ils m'agressent physiquement. Je reçois des coups de pieds en plein poitrine. L’un deux tente même de m’assener un coup de couteau», confie cet ancien directeur de radio Soummam.
Fait intriguant, l’agression a lieu sans que les agents de sécurité de la maison de la culture ne réagissent. « Il y a cinq agents de sécurité au niveau à la maison de la culture. Ils les ont laissé faire. On dirait qu’il y a eu complicité. Je n’ai rien compris », peste le journaliste, en s’interrogeant sur l’impassibilité des agents. « Pourquoi les agents de la maison de la Culture que préside Ould Ali El-Hadi n’ont pas intervenu ? »
Pour Khaled kchout, ceci porte un nom: « non assistance à personne en danger ».
Un médecin légiste qui a diagnostiqué « un traumatisme cervical » lui a prescrit un arrêt de travail de 15 jours. Le journaliste a déposé plainte auprès des services de sécurité qui ont ouvert une enquête.
« Il faut que cela cesse. C’est intolérable qu’on en arrive à ce stade de dérapages », s’offusque-t-il.
Dans un communiqué rendu public jeudi 12 mai, le Syndicat National des Journalistes (SNJ) algérien dénonce une « lâche agression » contre Khaled Akchout sur son lieu de travail, « sans qu'aucun des agents de sécurité de l'établissement en question n'ait daigné intervenir. »
Le SNJ appelle les autorités à intervenir contre les agresseurs et à assurer la sécurité du journaliste et de ses proches.
Source: DNA - Dernières nouvelles d'Algérie daté du 13 mai 2011


Tizi-Ouzou : Le chef de projet de la radio locale agressé

M. Akchout Khaled, le chef de projet de la radio locale de Tizi-Ouzou a fait l'objet mercredi dernier d'une agression perpétrée à l'intérieur de la maison de la culture Mouloud-Mammeri par deux individus résidant à la cité voisine, "cité Million". En effet, dans une déclaration rendue publique, M. Khaled Akchout déclare avoir été agressé vers 10 heures, au moment où il quittait son bureau. "Deux jeunes voyous connus et reconnus pour leur dangerosité me portent des coups et blessures ayant nécessité mon transfert au service des urgences du CHU de Tizi-Ouzou. L'un des agresseurs a même tenté de me porter un coup de couteau et je n'ai dû mon salut que grâce à l'intervention de son ami qui lui a intimé l'ordre de ranger son arme", lit-on dans cette déclaration. L'un des auteurs, un repris de justice notoire, a été arrêté, quant au second, en fuite, est activement recherché.
Source: Horizons daté du 13 mai 2011


Radio Djurdjura : La livraison des locaux retardée
L'inauguration des locaux de la radio locale, prévue pour le 19 mars dernier, n'a pas eu lieu. Les travaux de construction de la structure, qui ont été lancés en juillet 2008 traînent en longueur. Les travaux ne seront pas achevés avant la mi-avril, selon le directeur de l'administration locale (DAL).Lors de la dernière session ordinaire organisée par l'assemblée populaire de Tizi Ouzou, le DAL a sollicité un nouveau délai, à cet effet. Ce dernier, qui a pris le train en marche, ne semble pas tenir compte de la vraie cadence du travail sur le terrain, ni de la bureaucratie qui relève notamment de l'approbation et le vote des budgets par l'APW. Cette dernière, rappelle-t-on, n'a pas lésiné sur les moyens financiers pour voir enfin Radio Djurdjura mise en service.
À plusieurs reprises des rallonges budgétaires ont été accordées à ce projet qui est réalisé totalement sur le budget de la wilaya. En effet, l'APW a octroyé une rallonge financière pour l'équipement des studios et l'achèvement du mur rideau (des cloisons externes en verre). La dernière tranche rajoutée par l'APW au profit de ce projet était de 13 millions de dinars pendant que la tranche précédente, de l'ordre de 17 millions de dinars vient juste d'être engagée.
Lors de la dernière session ordinaire de l'APW, le directeur des administrations locales (DAL) a été interpellé pour la énième fois au sujet de sa promesse de livrer le programme à la fin mars. Ce dernier, évoquant le retard mis par la Sonelgaz pour alimenter la structure en énergie électrique, se voit arrêter par un responsable de cette Société qui lui rappelle le non payement des devis élaborés par ses services. Ainsi, le projet de construction de la Radio Djurdjura est à 5 mois de sa 3ème année de retard sur les délais contractuels.
Source: El Watan daté du 6 avril 2011 


La décision a été prise lors de la session de l’APW de Tizi Ouzou
Une rallonge de 13 millions de dinars pour Radio Djurdjura

Lancé le 5 juillet 2008, le projet de réalisation de Radio Djurdjura dont le montant du projet s’élève à plus de 7,5 milliards de centimes accuse un retard considérable à tel point qu’il a été au centre des travaux de la dernière session de l’APW qui s’est penchée ces derniers jours sur l’adoption du budget primitif 2011.
Jusqu’à l’heure actuelle, le  taux d’avancement du projet est estimé à 85% et sa réception,  prévue pour le 1er novembre dernier, est retardée et à présent aucun délai n’est fixé pour son inauguration officielle. Seulement, lors de la session de l’APW, l’échéance du mois de mars 2011 a été retenue pou la livraison de cette station de radio régionale tant attendue.
Censée être achevée et réceptionnée dans un délai ne dépassant pas les dix-huit mois, le projet de la radio dont l’édifice est construit en R+2 pour 900 m2 de surface bâtie, dont 12 bureaux et un studio, a donc connu un retard considérable. Les travaux de finition se poursuivent toujours et cette rallonge est censée assurer l’achèvement des travaux.
Plusieurs jours de travaux sont nécessaires afin que la bâtisse donne l’image d’une structure apte à abriter une radio régionale tant attendue par la population locale qui a caressé des années durant, soit depuis la mise à l’arrêt de radio Djurdjura en 1966, le rêve d’une station de radio locale. 
Si les travaux de réalisation de la bâtisse, située dans l’enceinte de la maison de la culture Mouloud Mammeri, ont pris tant de retard -l’aménagement n’est pas encore réalisé et la réalisation du mur-rideau en verre s’éternise-, qu’en est-il alors de son équipement en moyens techniques, matériels et humains, se demande-t-on ?
Le projet de radio Djurdjura risque encore de durer. Pour rappel, la première entreprise qui avait lancé les travaux a été destinatrice d’une mise en demeure émise par les services de la direction de l’administration locale, en leur qualité de maître d’ouvrage, a conduit à la résiliation de la convention, qui liait les deux parties. Ensuite, deux entreprises ont pris le relais avec la promesse de livrer le projet avant le 31 octobre 2010. Seulement, tout ne s’est pas déroulé comme prévu.
Pour sa part, la dotation de cette radio en équipement et matériel technique coûtera la somme globale de 10 millions de dinars et elle fonctionnera, dans un premier temps, durant une tranche horaire de huit heures par jour seulement. En effet, cette radio émettra de 6 h à 14 h avec une grande partie des programmes dédiée entièrement à l’info de proximité.
Quant au rayon d’émission, on l’ignore pour l’instant. On sait seulement que c’est la station TDA de Redjaouna qui sera chargée de la diffusion des ondes et que les techniciens s’attèlent à achever cette tâche. 
Source: Le Temps d'Algérie daté du 1 janvier 2011



***2010***

Tizi Ouzou : la radio « Djurdjura » en gestation



Le siège de la radio «Djurdjura» est implanté dans l’enceinte de la Maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou. La première pierre a été posée par le wali le 5 juillet 2008. Plus de deux ans après, la radio reste une des rares au pays à ne pas émettre. La wilaya se donne un délai jusqu’à la fin de l’année 2010 pour terminer le projet.


Lancé en juillet 2008, pour un délai de réalisation de 15 mois, le projet de la radio Djurdjura n’est pas encore livré. Sa réception a été maintes fois annoncée, mais la réalité est là. La radio n’émet pas encore, au grand dam de la population locale.
Tizi Ouzou demeure du coup, l’une des rares wilaya du pays, qui ne possède pas sa propre radio. L’attente devient agaçante. Le projet devait être livré, donc, le mois de septembre de l’année 2009, avant d’être renvoyé pour le mois de mai passé, mais rien n’est fait.
Certes, la bâtisse devant abriter la radio s’est élevée, toutefois la radio n’existe toujours pas. Fort de deux étages, le siège est situé au niveau de l’enceinte de la Maison de la culture Mouloud Mammeri.
Aux dernières nouvelles, on apprend que le fameux projet sera livré avant la fin de l’année en cours. D’ailleurs, un budget assez conséquent vient d’être débloqué pour l’acquisition du matériel nécessaire pour la station. Dix millions de dinars, c’est le montant de l’enveloppe allouée à cet effet. Tizi Ouzou espère que cette fois sera la bonne et le projet sera prêt dans le délai annoncé.
L’ensemble du projet a valu une coquette somme de 7,5 milliards de centimes. La radio était destinée pour créer 26 postes d’emploi. Selon nos informations, dans un premier temps, la radio émettra de 6h à 14h. Le volume horaire sera augmenté après la mise en place des équipes de diffusion et de production.
Le programme de la future radio sera riche et varié, il y en aura, en effet, du sport, de l’information, du divertissement…il est certain en somme, que la radio Djurdjura ne sera pas de trop pour la wilaya. Une wilaya qui a déjà vécu avec cette radio des années durant avant que celle-ci, ne mette les clefs sous le paillasson pour des raisons politiques, dit-on. Les anciennes générations se souviennent que la station constituait un espace d’évasion pour elles. La radio offrait, en effet, se rappelle-t-on, l’alternative avant son éclipse, laissant du coup, un grand vide derrière elle.
Il a fallu attendre l’année 2007, pour reparler de nouveau de cette station. L’annonce de sa relance a été faite par le directeur général de l’ENRS, de l’époque Azzedine Mihoubi. C’était le 25 janvier 2007. Depuis, Tizi tape des mains et des pieds pour mettre en œuvre le projet.
La première pierre a été posée par le wali, le 5 juillet 2008. Des entreprises ont été engagées avec un suivi minutieux de la part des pouvoirs publics et les services concernés. Cet engouement n’a pas suffisant puisque le projet accuse déjà un retard assez conséquent.
On a appris, par ailleurs, que l’entreprise en charge du projet a été remplacée à cause justement de ce retard. Le fameux projet a été confié à un autre entrepreneur lequel promet que la radio sera fin prête avant la fin de cette année. Est-ce donc la bonne et l’énigme sera-t-elle résolue ? La population brûle d’impatience pour écouter sa propre radio.
Source: La Dépêche de Kabylie daté du 4 août 2010


En chantier depuis 20 mois : Radio Tizi Ouzou émettra dans un an
Lancé en juillet 2008, le projet accuse 10 mois de retard. Au vu de la cadence des travaux, il n'est pas sûr que la radio de Tizi Ouzou émette avant la fin de l'année.
La première pierre du siège de la future radio de Tizi Ouzou a été posée par le wali le 5 juillet 2008. Près de deux années après son lancement, le projet qui devait être livré en 15 mois est toujours au stade de chantier. A voir de près la cadence des travaux, il n'est pas sûr que cette station en construction dans l'enceinte de la maison de la culture Mouloud Mammeri émette avant la fin de l'année. Les moyens humains engagés par les deux entreprises réalisatrices ne sont pas du genre à espérer l'achèvement rapide des travaux de cette structure composée d'un rez-de-chaussée et d'un étage et pour laquelle la wilaya a prévu 7,5 milliards de centimes.
« En principe, tout sera terminé dans quatre mois. A l'intérieur, tout est séparé. Il ne reste que l'enduit en plâtre et le revêtement du sol », dira un chef de chantier. « Il ne reste que 5% des gros œuvres à achever », a indiqué pour sa part une représentante d'un bureau d'études rencontrée sur les lieux. Excédé par le retard qu'accuse ce projet, le wali de Tizi Ouzou, Hocine Mazouz, a sommé les responsables des deux entreprises concernées à livrer le projet au plus tard le mois de mai prochain, faute de quoi il sera procédé à la résiliation du marché.
Ce nouveau délai sera-t-il respecté ? « Tout dépendra du renforcement des effectifs et de l'allure des travaux. Certes, le projet a été freiné au début en raison de l'opposition de riverains, mais ce n'est pas une excuse valable pour mettre tout ce temps, d'autant plus que des assurances ont été données par les deux entreprises quant à la livraison de la construction dans un délai de moins de 15 mois », a-t-on déploré. Le même désappointement aurait été exprimé par le ministère de la Communication et les responsables de la radio nationale (ENRS) qui se chargeront de l'équipement et de la gestion de la future radio de Tizi Ouzou.
« Le matériel nécessaire au lancement des émissions est prêt. Reste à fixer le délai de fin des travaux pour qu'on puisse lancer le concours de recrutement des équipes rédactionnelles, d'animation et autres. Nous envisageons de créer 26 postes d'emploi », a expliqué une source proche de ce projet. Dans un premier temps, Radio Djurdjura émettra de 6h à 14h. La tranche horaire augmentera de 5 h, une fois les équipes de production et de diffusion mises en place. Côté programme, la grille sera variée promet-on, puisqu'il y aura un peu de tout : informations, divertissement, éducation, sport.
Radio Djurdjura existait durant les années 1960. Ses programmes arrosaient une bonne partie de la Kabylie. Depuis, c'est le silence radio. Il a fallu attendre le 25 janvier 2007 pour apprendre officiellement par la voix de Azzedine Mihoubi, directeur général de l'ENRS à l'époque, l'ouverture d'une radio locale à Tizi Ouzou. A vrai dire, le projet a toujours été une idée défendue par l'Assemblée populaire de wilaya (APW) ces dernières années.
Le défunt Rabah Aïssat, alors président de l'assemblée de wilaya, avait provoqué quelques mois avant son assassinat, en octobre 2006, une réunion sur le sujet entre le wali et les cadres du ministère de la Communication. L'annonce, par voie de presse, de la relance de cette radio régionale, a été agréablement accueillie par la population. Un média de proximité aussi important, pour répercuter ses préoccupations quotidiennes, est fortement attendu. A quand le début des émissions ?
Source: El Watan daté du 17 février 2010 


***2009***

Radio Djurdjura émettra avant la fin de l'année
La radio Djurdjura de Tizi Ouzou émettra avant la fin de l'annéen selon le wali de Tizi Ouzou. Le personnel de la chaîne a été déjà recruté et les travaux avancent convenablement. Elle est implantée au niveau du même site que la maison de la Culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou. Pour la réalisation de cette station lancée depuis juillet 2008, une enveloppe de 4,5 milliards de centimes a été dégagée. 
La chaîne radiophonique de Tizi Ouzou a cessé d'émettre depuis 1960.
Source: Le Quotidien d'Oran daté du 5 mai 2009


***2008***


Tizi Ouzou
25 millions de Da pour la radio locale
Prévue à l'horizon 2010, cette radio s'inscrit dans le cadre de la politique nationale d'enrichissement en stations régionales.
Le projet de réouverture de la radio kabyle locale vient d'être doté d'une enveloppe budgétaire estimée à 25 millions de Da. Les autorités locales et les élus viennent, en effet, d'inscrire cette initiative dans le budget supplémentaire de l'année en cours et ont procédé ainsi au vote de ce budget qui permettra de lancer les travaux de réalisation.
Pour rappel, le wali a déjà inauguré et posé la première pierre pour le projet de réalisation du bâtiment qui accueillera cette station locale à l'occasion du 46e anniversaire de l'Indépendance.
En effet, ce projet de radio locale à Tizi Ouzou, vient combler le vide laissé par une ancienne radio locale dont ne se souviennent que les plus âgés. Celle-ci avait fait connaître des figures emblématiques du paysage médiatique de ce temps-là, à l'instar de Ferhat Oumalou. Après sa cessation d'émission en 1985, la région n'avait comme médias de langue kabyle, que la Chaîne II de la Radio nationale. Prévue à l'horizon 2010, cette radio locale s'inscrit également en droite ligne de la politique nationale d'enrichissement en stations régionales pour permettre aux citoyens d'avoir accès à une information de proximité plus riche.
La culture, elle aussi, y trouvera son compte car cette station qui émettra dans toute la périphérie du chef-lieu s'intéressera inévitablement à la vie quotidienne des citoyens. Elle sera le porte-voix de leurs préoccupations, leurs projets ainsi que leurs activités culturelles et citoyennes de tous les jours.
La future station locale de la radio kabyle viendra également enrichir le paysage médiatique national et régional. En effet, dans la wilaya de Tizi Ouzou, les citoyens reçoivent actuellement les programmes des stations nationales et régionales comme la radio Soummam, radio El Bahdja et les chaînes de la Radio nationale.
A rappeler aussi que la future radio locale aura son siège au niveau de la Maison de la culture Mouloud-Mammeri, sise au centre-ville de Tizi Ouzou. Les travaux de sa réalisation viennent juste de débuter après que les autorités locales lui aient attribué une assiette.
Celle-ci permettra, non seulement, au paysage médiatique de s'enrichir, mais elle donnera des chances aux nouveaux diplômés des sciences de la communication pour se faire une place et un avenir.
Elle jouera également un rôle important dans la maîtrise du domaine de la communication qui devient un instrument de domination culturelle, économique et stratégique dans un monde qui entre dans la mondialisation tous azimuts.
Source: L'Expression daté du 17 juillet 2008 



Tizi Ouzou
Lancement de la radio locale
La première pierre pour la réalisation de la radio locale de Tizi Ouzou a été posée, hier, par le wali à l'occasion de la célébration du 05 juillet. Le projet qui va coûter 42,9 millions de dinars, sera réalisé au niveau de la maison de la culture Mouloud-Mammeri pour un délai de 12 mois. La bâtisse comportera trois niveaux et 12 bureaux ainsi que tous les espaces (salles de mixage, de rédaction…) nécessaires pour le fonctionnement d'une radio. Pour rappel, la wilaya de Tizi Ouzou disposait d'une radio local (la radio Djurdjura) qui émettait jusqu'aux années 1970 avant d'être fermée. Les élus APW ont lutté pour sa réouverture, chose impossible car le matériel est très dépassé. A partir du deuxième trimestre 2009, Radio Djurdjura pourra émettre à nouveau. Ce qui sera d'un apport considérable pour la région sur le plan communication. Le deuxième projet qui a été lancé, hier, est celui du marché de gros qui sera réalisé sur un terrain situé à 7 km de la ville de Tizi Ouzou sur la rocade sud. D'une superficie de 23 ha, le terrain réservé à ce projet accueillera également un abattoir qui s'étendra sur 14 ha, le montant global du projet est de 1,286 milliard de dinars, il comportera 160 carreaux de vente et sera doté de toutes les commodités nécessaires dont des douches, un poste de sécurité, des aires de stationnement, une pharmacie, l'annexe d'une banque, des unités de restauration et des cafétérias, des KMS…, l'abattoir est d'une capacité d'abattage de 150 têtes bovines et 1 000 têtes ovines. Lors de cette même visite, il a été procédé à la remise des clés aux bénéficiaires des 163 logements Aadl de la commune de Tadmaït, un projet réceptionné avec un énorme retard dans la réalisation. Dans cette même localité, le wali a également inauguré l'échangeur sur la RN 12 dont l'enveloppe allouée est de 500 millions de dinars. Il est d'une longueur de 30 m et d'une largeur de 10 m et comporte deux voies.
Source: InfoSoir daté du 6 juillet 2008 



***2007***

Radio Tizi Ouzou à quand le début des émissions ?
La station existait durant les années 1960. Ses programmes arrosaient une bonne partie de la Kabylie au grand bonheur de ses auditeurs.
Depuis, c'est le silence radio. Il a fallu attendre le 25 janvier 2007 pour apprendre officiellement par la voix de Azzedine Mihoubi, directeur de l'ENRS, l'ouverture d'une radio locale à Tizi Ouzou. A vrai dire, le projet a toujours été une idée défendue par l'Assemblée populaire de wilaya (APW) ces dernières années. Le défunt de Rabah Aïssat, son président, avait provoqué quelques mois avant son assassinat une réunion sur le sujet entre le wali et les cadres du ministère de la Communication. L'annonce par voie de presse de la relance de cette radio régionale a été agréablement accueillie par la population. Un média de proximité aussi important pour répercuter ses préoccupations quotidiennes est fortement attendu. Une commission a été dépêchée d'Alger en août 2006 pour étudier la faisabilité technique du projet. Selon nos informations, Radio Djurdjura émettra à partir de Aïn El Halouf, un quartier situé sur les hauteurs de la ville de Tizi Ouzou. C'est le rez-de-chaussée de l'immeuble qui devra abriter les studios. Pour faire vite, il sera procédé à l'installation provisoire de la station en attendant la réalisation d'un siège. « Le projet est en bonne voie », a annoncé le wali de Tizi Ouzou, Hocine Mazouz, mais sans préciser la date du début de la diffusion des programmes. S'exprimant lors de la dernière session de l'APW, il a indiqué en substance : « La radio est inscrite. Elle sera réalisée et commencera à émettre le plus tôt possible. Les équipements, les moyens de transport et le personnel sont prêts. » Notons que le projet est inscrit au budget supplémentaire de la wilaya pour l'année 2007 qui vient d'être voté par les élus. En effet, une subvention de 50 millions DA sera débloquée pour l'achèvement des travaux des bureaux de la future radio de Tizi Ouzou.
Source: El Watan daté du 19 août 2007 



***2006*** 


44e anniversaire du recouvrement de la souveraineté de la radio
C'est une radio algérienne qui s'inscrit, colle et s'arrime à l'air du temps, célébrant son 44e anniversaire du recouvrement de sa souveraineté (avec la télévision aussi), en s'amendant au fil des années de par une ambition foncièrement affichée.
Création, professionnalisation et interactivité”. Telle sont les maîtres mots prônés par M. Azzedine Mihoubi, DG de l'ENRS résumant l'habillage et autre teneur radiophonique toutes chaînes confondues. La Radio algérienne s'est fixée un plan d'action efficient et effectif en relevant plusieurs défis de front. “Notre défi premier est incontestablement la numérisation de la radio. Un facteur diligent, créatif, qualitatif et d'une grande économie de temps. Vous savez, l'Afrique, en matière de radio est numérisée. Le processus de numérisation, est effectivement, en cours. Ainsi qu'un formation permanente. Il existe un volonté pour créer de très bonnes conditions de travail professionnel à la radio...”, indique à ce propos Azzedine Mihoubi. L'objectif immédiat de la radio(nationales et régionales) est de fidéliser un auditeur permanent. A titre indicatif, la radio algérienne diffuse 187 000 heures par an, 540 heures par jour dont 40% sont des programmes consacrés à l'interactivité. En 2007, la radio compte atteindre les 200 000 heures par an. Toujours dans cette dynamique d'ouverture et couverture radiophonique, une dizaine de radios locales qui, virtuellement, émettront en 2007. Il s'agit celles de Aïn Témouchent, Saïda, Tissemsilt, Djelfa, Tizi Ouzou, Médéa, Khenchela, Guelma, Bordj Bou Arréridj et Oum El Bouaghi, en s'ajoutant au 32 radios actuellement opérationnelles à travers le pays. “ Notre autre défi, c'est de dépasser le cap des 60 chaînes radios en 2009...” envisage M. Mihoubi. Parmi les projets immédiats figurent le lancement incessamment de la radio internationale d'information continue, deux autres radios thématiques (sport-jeunesse et économie), l'intégration du bouquet des radios algériennes (nationales et locales) au sein du streaming (internet). Le site approprié est en construction et dont la rédaction diffusera des informations en continu, en temps réel et en langue arabe et français. Trois périodiques spécialisés - les mensuels Radios Amouadj (arabe et français) et Radio Coran - seront édités dans quelques jours. En ce qui concerne l'ouverture sur l'Afrique, après la diffusion des programmes en langue hawsa en permanence depuis la radio de Tamanrasset-très écoutée par les pays riverains-il est prévu une autre émission en langue swahili. Comme l'a prouvé la synergie entre la radio et la TV, à travers le succès de la Caméra cachée( dans les studios de la radio) réalisée par Djaâfar Gacem (SD BOX) , une convention-cadre sera paraphée, aujourd'hui, entre l'ENTV et l'ENRS en matière d'échanges de programmes, production, formation, partenariat...Par ailleurs, M. Azzedine Mihoubi, a annoncé la tenue du concours du Micro d'or(award radiophonique) récompensant les meilleurs animateurs, réalisateurs, producteurs, émissions...” Un pris pour encourager et créer l'émulation parmi les acteurs et actants de la radio dans toute sa dimension plurielle. Ce 44ème anniversaire de la radio a été célébré avant-hier, à l'hôtel Aurassi d'Alger où des figures et voix emblématiques de la radio ont été honorées de leur vivant ou à titre posthume comme le poète Djamel Amrani, Mohamed El Badji, le maître du chaâbi, Zahra Halit, Abderrahmane Cheriet...
Source: El Watan daté du 2 novembre 2006 


Radios régionales
Quels moyens pour le tout numérique ?
Sur les quelque 17 wilayas ne disposant pas encore d'une station de radio régionale, une dizaine devra l'être avant la fin 2007.
Parmi elles Tizi Ouzou, dont I'APW a dernièrement proposé sa contribution pour permettre d'accélérer la réalisation de ce projet. Selon le nouveau directeur général de la Radio nationale, Azzedine Mihoubi, que nous avons approché en marge du troisième séminaire sur les radios régionales, qui a pris fin dimanche dernier à Béjaïa, la prospection est lancée pour trouver le siège qui abritera la station. « Une commission s'est déplacée à Tizi Ouzou pour cela », nous a-t-il dit. Ce qui pourrait être la Radio Djurdjura, très possible dénomination, aura de la voix et viendra bousculer son aînée Soummam et tenter de séduire les auditeurs kabyles. La même concurrence est permise dans les régions du Hodna, d'El Hidhab, des Aurès... En attendant l'ouverture du champ audiovisuel au privé (non encore au programme), le projet du ministère de la Communication a cela d'avantageux : il permettra une concurrence qui imposera de satisfaire l'exigence de la qualité. Notamment sur le plan des programmes. A l'horizon 2009, on se bousculera sur les ondes, on devra compter 48 radios locales à travers le territoire national. Une radio donc pour chaque wilaya. Soit un ambitieux programme d'investissement qu'il faudra impérativement conjuguer à l'exigence de la qualité. Le ministère de la Communication entend armer la Radio nationale en outils de la modernité pour lui permettre de suivre le rythme de la concurrence mondiale. Pour ce faire, la numérisation totale est promise avant le 31 décembre 2007. 16 mois en somme pour répondre à cette exigence. Des responsables de radios régionales ont demandé de pouvoir disposer de consoles numériques pour pouvoir achever l'opération de numérisation entamée dans leur station. Sur-le-champ, la réponse a été négative. Alors, la Radio nationale, promise au statut de « grand et puissant pôle médiatique », a-t-elle les moyens de sa politique ? Certaines stations, dont la Radio Soummam qui a été la pionnière dans le domaine, se sont mises au numérique depuis 2003 sans pour autant arriver à une numérisation complète puisque la diffusion passe toujours par des consoles analogiques. L'achèvement de l'opération est tributaire de ces consoles numériques dont l'acquisition n'est pas dans leurs cordes. Un matériel qui coûterait cher. Quelles priorités donc pour la tutelle dans les projets d'équipement des stations radiophoniques ? Pour l'heure, prioriser les radios partiellement numérisées ne semble pas être l'option prise. A la lumière de l'exposé du responsable des radios régionales au séminaire de Béjaïa, le budget d'équipement de la Radio nationale ne prévoit pas encore ce genre d'acquisition pour ces stations radiophoniques. Du moins pas pour beaucoup parmi les anciennes, au contraire de celles à créer et surtout pour les chaînes nationales, du fait de leur statut, dont « les consoles numériques sont arrivées ». Pourtant, M. Mihoubi, à la tête de la Radio nationale depuis près de deux mois, appuie, avec conviction, l'échéance déjà avancée pour la numérisation de toutes les stations radio. « Ce sera fait avant la fin 2007 », nous a-t-il répondu. En attendant, huit radios régionales, Laghouat, Tiaret, Jijel, Batna, Constantine, Tamanrasset, Adrar et Sidi Bel Abbès, ne sont pas dotées encore de réseaux informatiques. L'installation est à prendre en charge dans le cadre d'un programme que la direction de la Radio nationale dit avoir tracé. Si pour certaines de ses radios l'obstacle a été jusque-là d'ordre technique, les trois dernières stations précitées, par exemple, ont buté, par contre, sur la problématique de l'autofinancement. Leur manne publicitaire étant maigre, la moindre acquisition est au-dessus de leurs capacités financières. Ceci n'a pas empêché l'interpellation des responsables des radios régionales pour faire l'effort de compter sur les rentrées publicitaires : « Il faut faire le deuil du temps où l'on sollicite la direction pour l'achat même d'un rouleau de scotch. » Grand défi sur les ondes.
Source: El Watan daté du 24 août 2006 

 

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